Ville

Les Goules

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Intro : Le matin quand je veille quand je reviens chez moi Le soleil s'éveille ciel est mauve les oiseaux pétillent ensemble Le trottoir est désert moi je suis là je suis saoul À bicyclette tout a un parfum incandescent Le cerveau égaré l'alcool embrasé je souris, Je suis bien comme si tout était fermé     J'aimerais bien qu'on ferme la ville      J'aimerais bien qu'on ferme la ville      J'aimerais bien qu'on ferme la ville      Une ville c'est très beau moi j'aime ça Quand le matin y'a personne pas de hâte J'suis tout seul sur un banc il y a un chat Bâtiments immobiles c'est joli les toits qui brillent La chaussée désertée comme si tout était fermé J'aimerais bien qu'on ferme la ville      J'aimerais bien qu'on ferme la ville      J'aimerais bien qu'on ferme la ville      Le matin quand je veille quand je reviens chez moi Le soleil s'éveille ciel est mauve les oiseaux pétillent ensemble Le trottoir est désert moi je suis là je suis saoul À bicyclette tout a un parfum incandescent Le cerveau égaré l'alcool embrasé je souris, Je suis bien comme si tout était fermé    J'aimerais bien qu'on ferme la ville      J'aimerais bien qu'on ferme la ville      J'aimerais bien qu'on ferme la ville     

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La chanson évoque un moment de solitude et de contemplation dans une ville paisible, où le protagoniste savoure un matin tranquille, loin de l'agitation urbaine. Il décrit une scène magnifique, avec un ciel mauve et des oiseaux chantant, mais aussi un sentiment d'ivresse qui lui procure une certaine légèreté. L'idée de vouloir "fermer la ville" reflète un désir de célébrer ce calme et cette beauté éphémère, loin du tumulte quotidien. Le contexte semble être celui d'un renouveau, d'une échappatoire, où le protagoniste aspire à savourer des instants simples et authentiques. Ce moment de tranquillité sur un banc, accompagné d'un chat, fait écho à une quête de paix dans un cadre urbain souvent trop animé.