Le temps perdu

Les Cowboys fringants

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/ Devant la porte de l'usine Le travailleur soudain s'arrète   le beau temps l'a tiré par la veste comme il se retourne il regarde le soleil tout rouge, tout rond souriant, dans son ciel de plomb il cligne de l'oeil, familièrement dis-donc camarade soleil ne trouves-tu pas que c'est plutôt con de donner une journée pareille à un patron ?

Du même artiste :

empty heart empty heart F, G, Cmaj7, E, Am
empty heart empty heart F#, E, A, B
empty heart empty heart A, Bm, F#m, E, D
empty heart empty heart Am, C, G, F, E, Em
empty heart empty heart C, F, Am, G, Fmaj7, Dm
empty heart empty heart C, F, G, Am, E, Em
empty heart empty heart D, G, B7, Em, C, A, D7
empty heart empty heart Am7, Am7/6, Am, G, F, C, Em
empty heart empty heart Am, F, C, G, E
La chanson évoque un travailleur qui, devant l'usine, prend un moment de pause pour admirer la beauté du soleil. Ce dernier, éclatant et chaleureux, semble lui rappeler qu'il vaut mieux profiter des belles journées au lieu de les consacrer entièrement à un patron. Il critique ainsi la dureté du quotidien et la logique de donner sa vie à un employeur, soulignant un décalage entre le plaisir de vivre et l'astreinte du travail. Dans une société où le labeur occupe une place prépondérante, ce moment d'évasion devient une réflexion sur le sens du temps et des priorités. C'est un appel à reconsidérer nos choix et à apprécier les petites joies qui nous entourent.