Grosse femme

Les Cowboys fringants

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Intro : J'me lève à onze heures toué matins J'déjeûne en lisant mes journaux à potins J'me promène icite et là J'aime ben ça scèner d'in centres d'achats Travailler ça sert à quoi quand tu r'çois ton chèque à chaque mois Aie ! Bonhomme ! J'ai l'câble, la TV Le Vidéoway J'erçois ma gazette Avec mon pagette Pis mon cellulaire Comme un vrai homme d'affaires... Moé.. ! J'ai une grosse femme Moé.. ! J'ai une grosse femme J'me tiens au casse-croûte Chez Edmond Pis j'rêve de gagner le million j'tete mon café, j'fume des rouleuses Tout en cruisant les p'tites serveuses... À quoi ça sert de travailler tu r'viens tout l'temps trop fatigué (Dans l'fond) Ch'pas si lâche que ça J'appelle d'ins lignes ouvertes J'collectionne les bouchons Les cartons d'allumettes J'ramasse les bouteilles J'arondis mes fins de mois... Moé.. ! J'ai une grosse femme Moé.. ! J'ai une grosse femme Toute la journée je r'garde dehors J'écoute les amateurs de sport Pis j'm'éfoire sur le divan, j'manq'rais pas mes téléromans... (C't'année) Y'a Fort Boyard La poule aux oeufs d'Or Toutes les games de hockey 'Sont télévisées Pis y'a des films de fesses À TQS... Moé... ! j'ai une grosse femme Moé... ! J'ai une grosse femme Finale : (2x)

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La chanson évoque le quotidien d'un homme qui semble profiter de la vie sans se soucier des contraintes du travail. Il se laisse vivre, traîne dans des endroits familiers, se divertit à la télévision, et rêve de richesse sans vraiment s'investir. Cet homme se vante de sa compagne qui est « grosse », ce qui pourrait symboliser une forme d’aisance ou de confort dans sa vie. Au final, il dépeint une existence paisible et sans prise de tête, où les plaisirs simples prennent le pas sur l'ambition. Cette ambiance décontractée reflète un certain mode de vie, sans responsabilités pesantes, où le bien-être personnel prime sur les attentes sociétales classiques. Ce choix de vie peut susciter des réflexions sur la valeur du travail et la quête de bonheur dans la simplicité.