Les vautours

Les Chiens de ruelles

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En boucle : (x3) On est beau, on est d'même y'a pas d'problème Je regarde encore passer le monde avec, leur esti d'air simple Se regarde le nombril avec leurs jumelles s'pas leurs pieds Pis ça besoin d'une raison d'vivre si c'est pas une raison d'exister Fait que cash cash money ooh, achète en gros Get le swag avec ton chars, tes biceps pis ton condo J'ai pas l'temps d'aller au gym, mais je m'achèterai des abdos J'ai un dog au coin d'la rue qui peut, m'procurer tout ce qu'il faut Si j'feel pas, si j'feel trop, si j'feel high ou si j'feel low Si j'me sent mince, ou ben trop gros, si j'me sent laid pis j'veux être beau On a d'la dope en masse dans cours, des injections, pis des pilules Soigner la haine la violence l'amour On a d'la dope en masse dans cours, Jugé légale par la patte sale d'un vautour Qui nous tourne autour, tourne autour de nos têtes Tourne autant que nos têtes, toucherons pas la poussière Toucherons pas la poussière Autant que mon corps, s'rendra pas de lui-même, jusqu'au cimetière (Instrumental) On est beau, on est d'même y'a pas d'problème C'est juste que ça vient un p'tit lassant de peser sur repete la même scène On est, bros et sympathique, des économiste d'opé au fric Aux juges, pis aux policiers qui sont jusqu'au coup dans gamique Ça fait pas d'sens, quand j'y pense, d'apprendre une nouvelle danse D'être, pogné toute seul dans l'noir, d'être obligé d'suivre la cadence Fait que cash cash money ooh, j'comprends pas trop, J'ramasse mon pack de clope, ma douze de bière j'sors du radeau Vous avez ben trop de stock dans cours Des télés, pis des iPhones, soigner, la haine la violence l'amour Vous avez ben trop de stock dans cours Jugé légale par la patte sale d'un vautour Qui nous tourne autour, tourne autour de nos têtes, Tourne autant que nos têtes, toucherons pas la poussière Toucherons pas la poussière Autant que mon corps, s'rendra pas de lui-même, jusqu'au cimetière (Instrumental) On est beau, on est d'même y'a pas d'problème C'est vrai qu'on est des gens tout croche qu'on vit avec différents barèmes On regarde le nombril, de nos amis s'pas leurs pieds Pis ça nous donne une raison d'vivre si ç'pas une raison d'exister Fait que cash cash money ooh, Mais la pas trop, j'préfère passer des soirées au parc des jam d'appart ou su'l bord de l'eau Ç'pas qu'on n'a pas l'temps d'aller au gym, mais ça nous tente pas plus qu'y faut Ç'pas notre genre, d'exposer notre corps, dans une vitrine sur Ontario Des fois on feel pas, des fois on feel trop, des fois on feel high des fois on feel low Y'en a des mince, y'en a des gros, y'en a des laid y'en a des beaux On a du criss de bon monde dans cours, À coup d'physique, ou ben d'oral, soigner la haine la violence l'amour On a du criss de bon monde dans cours, Jugé illégale par la patte sale d'un vautour, Qui nous tourne autour, tourne autour de nos têtes Qui tourne autant que nos têtes, toucherons pas la poussière Toucherons pas la poussière Autant que mon corps, s'rendra pas de lui-même, jusqu'au cimetière (Instrumental) Encore jugé illégale par la patte sale d'un vautour, Qui nous tourne autour, tourne autour de nos têtes, Tourne autant que nos têtes, toucherons pas la poussière Toucherons pas la poussière, Autant que mon corps, s'rendra pas de lui-même, jusqu'au cimetière

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Cette chanson évoque une réalité marquée par les contradictions et les luttes internes des gens d'aujourd'hui. Les protagonistes semblent passer leur temps à se préoccupent de leur apparence et de leur statut social, pris dans un cycle de consommation et d'apparences, tout en ressentant un manque de sens dans leur existence. Ils critiquent les valeurs superficielles qui dominent la société, telles que l'obsession pour l'argent et les apparences physiques, tout en cherchant une échappatoire à cette vacuité à travers des moments plus simples et authentiques. Le contexte de cette oeuvre peut être vu dans un environnement urbain où les influences matérielles et les jugements sociaux créent un cadre propice à la désillusion. Les personnages luttent avec leurs sentiments de beauté ou de laideur, entraînés par un monde qui semble les juger constamment. Ils expriment un besoin désespéré de vivre des moments véritables, loin de la superficialité.