C'est tout comme

Les Chaussettes noires

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La main qui montre le ciel noir Mes yeux qui voudraient te voir Mais tu n'es pas revenue Et ce temps perdu C'est tout comme un monde qui me fuit Le train qui file dans la nuit Le froid qui arrête la vie Le vent qui porte la pluie Et tous ses ennuis C'est tout comme un jour sans rêve autour Jamais, non jamais trop de bleu et de rire Le soleil, c'est pour les pauvres, pour les aider à vivre Le moindre bruit qui me réveille La ville ne dort pas, Sur son néon et ses enseignes, Cette joie qui se perd C'est tout comme un jour sans rêve autour. Jamais, non jamais là, croiseront nos routes Le temps et les gens qui passent viennent creuser le doute Après minuit, le blues qui pleure Dans la fumée des bars L'image du dernier quart d'heure De cette joie qui se meurt C'est tout comme un coeur qui ne bat plus C'est tout comme un monde qui me fuit C'est tout comme un jour sans rêve autour

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La chanson évoque une profonde mélancolie face à l'absence de l'être aimé, exprimant un sentiment de solitude et de désillusion. Les images parlent d'un monde qui semble fuir, d'un quotidien triste, où le temps passe sans véritable but et où la joie est engloutie dans l'obscurité. Chaque détail, comme le train qui file ou la ville éveillée, renforce l'idée d'un cœur lourd, empli de regrets et de doutes. On y ressent aussi l'idée que le bonheur est souvent réservé à ceux qui sont moins chanceux. Ce morceau semble s'inscrire dans un contexte d'amour perdu, où le protagoniste se débat avec ses émotions, cherchant désespérément à retrouver la lumière dans une existence assombrie. Les références à la nuit, à la pluie et aux lieux de vie nocturne renforcent cette atmosphère de tristesse et de nostalgie.