Sur le quai

Les Bouches bées

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

Quand il faut s'envoler un peu Quand le cœur est gros. Je connais le lieu où le reposer. Suis l'odeur du bord de l'eau Et ferme les yeux. Endors-toi pendant que j'allume le feu    Il y a au bout de la grève un petit recoin où quand le vent se lève. On peut se cacher le temps de s'embrasser Il y a deux petits oiseaux. Ils ont fait leur nid au centre des roseaux. Entends-les chanter  C'est bientôt l'été Quand il faut s'envoler un peu Quand le cœur est gros. Je connais le lieu où le reposer. Suis l'odeur du bord de l'eau Et ferme les yeux Endors-toi pendant que j'allume le feu      Il y a tellement d'horizon Même si les bras croisés tu tournes en rond. Il peut t'avaler Te laisser t'oublier        Il y a ta main dans la mienne Tout peut foutre le camp qu'à cela ne tienne. Je t'ai dans la peau Même si le monde prend l'eau      Quand il faut s'envoler un peu Quand le cœur est gros. Je connais le lieu où le reposer. Suis l'odeur du bord de l'eau Et ferme les yeux. Endors-toi pendant que j'allume le feu Quand il faut s'envoler un peu Quand le cœur est gros. Je connais le lieu où le reposer. Suis l'odeur du bord de l'eau Et ferme les yeux. Endors-toi pendant que j'allume le… Endors-toi pendant que j'allume le... Endors-toi pendant que j'allume le feu

Cette chanson évoque le besoin de trouver refuge et réconfort lorsque le cœur est lourd. Elle invite à s'échapper vers un lieu apaisant, près de l'eau, où l'on peut se détendre et se laisser aller. Les images de la nature, comme les oiseaux chantant et le feu qui crépite, créent une atmosphère douce et chaleureuse, apportant une promesse d'été et de sérénité. Le contexte semble parler d'un moment de déconnexion, où deux personnes se retrouvent pour se soutenir mutuellement face aux défis de la vie. Dans ce havre de paix, l'important est d'être ensemble, main dans la main, peu importe les tumultes du monde extérieur. C’est un appel à l’introspection, à la douceur des instants partagés, loin des tracas.