Los chacareros de dragones

León Gieco

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Intro con charango: | | | | | | | | | | | Alla donde todo aquel septiembre no alcanzó para llevarse la tempestad alla donde mmil poesias gritaron cuando le cortaron al poeta sus manos ay ay ay si hasta el condor lloro | | | | | | | | | | | Alla donde muchos pensamientos no tienen palabras ni gritos ni silencios alla donde quedo estrellada la raiz de un pueblo con sus profetas muertos ay ay ay si hasta el condor lloro | | | | | | | | | | |

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La chanson parle de l'endroit où des voix se sont tues, où la tempête a emporté des rêves et des luttes. Elle évoque la douleur d'un peuple dont les poètes et les penseurs ont été réduits au silence, rappelant la tragédie de ceux qui ont souffert pour faire entendre leur vérité. Les références au condor, symbole de liberté, soulignent une profonde mélancolie face à cette perte. Le contexte évoqué fait certainement écho à des moments historiques où des voix ont été muselées, notamment en Amérique latine, où la répression et la douleur des injustices ont marqué les âmes et les mémoires.