Rue des Longues-Haies

Le Père Aimé Duval

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Rues des Longues-Haies L'inconnu passait Rue des Longues-Haies L'inconnu passait. Pendant la nuit pleine Il a tissé la laine Il rentre avec sa peine. A l'heure matinale Dedans ses habits sales Mon Dieu, comme il est pâle ! Ô vous qui cherchez le Bon Dieu Dans les nua-ges Vous ne verrez jamais son visage. Ô vous qui cherchez le Bon Dieu Dans les nua-ges Vous manquerez encore son dernier passage. Rue des Longues-Haies Le Seigneur passait Rue des Longues-Haies Le Seigneur passait. Pendant la nuit pleine Il a tissé la laine Il rentre avec sa peine. A l'heure matinale Dedans ses habits sales Mon Dieu, que tu es pâle !

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La chanson évoque la rencontre entre un inconnu et le divin, alliant des images de solitude et de quête spirituelle. Elle décrit cet inconnu traversant une rue, porteur de ses douleurs et de son labeur, tout en soulignant sa pâleur, symbole de sa souffrance. Dans un contraste poignant, elle rappelle à ceux qui cherchent Dieu dans des lieux élevés qu'ils pourraient le manquer s'ils ne reconnaissent pas sa présence dans les moments simples et humbles de la vie. Au fil des vers, la présence de Dieu est presque tangible, révélant que les vérités spirituelles se cachent parfois au détour des rues ordinaires où se mêlent la tristesse et l'espoir.