Sing sing Barbara

Laurent

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Quand on part pour l'enfer Il faut faire sa prière ; c'est bien Moi, je donne un concert ; c'est mieux Avec une cuillère, sing Sur mes barreaux de fer, Sing Sing Je te crie, mon amour, adieu ! Et deux mille cuillères, sing La prison toute entière, Sing Sing Me répondent et te crient : « Adieu ! » Bye, bye, bye, Barbara, my baby Bye, bye, bye, Barbara Bye, bye, bye, Barbara So long Sing Sing, adieu ! Quand le matin naîtra Ils viendront me chercher Tant pis ! Et tout sera fini Tant mieux ! Mais deux mille cuillères, sing Symphonie pour l'enfer, Sing Sing Chanteront, mon amour, adieu ! Bye, bye, bye, Barbara, ne pleure pas Bye, bye, bye, Barbara Sing, sing, sing, Barbara Je t'aime, je t'aime, adieu ! Tes yeux, tes yeux Tes yeux, tes yeux noirs ! Refrain (Ad Libitum)

Du même artiste :

empty heart empty heart Am, D, G, F, E7, B, C
empty heart empty heart D, A7, F#m7, G, Bm, E7, D7
Cette chanson évoque le départ d'un homme vers un destin tragique, illustré par l'image de l'enfer. Avant de partir, il se remémore son amour et la douleur de la séparation. Il utilise des cuillères comme symbole pour évoquer tant la mélancolie que la beauté de son chant, créant une symphonie même dans l'adversité de sa situation. L'idée de dire adieu à Barbara résonne tout au long des paroles, soulignant la tristesse du moment. Le contexte de cette chanson semble s'inscrire dans une réalité où la liberté est perdue, et où la musique se transforme en ultime moyen d'expression face à l'absence d'espoir. On ressent la lutte intérieure entre le désespoir et le besoin d'amour, comme un ultime hommage à celui ou celle qu'on aime en dépit des circonstances.