Peggy

Laurent Voulzy

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Peggy est rentrée chez elle,         Par le dernier train du soir.        Claude a regagné Bruxelles,          Il a oublié sa chaîne et sa montre Dans l'armoire de l'entrée.         Le jour qui se lève a éteint ton sourire, Je dois partir déjà. Ferme les yeux, essaie de t'endormir, Ce sera plus facile comme ça. Bye bye, bye bye Tout n'a qu'un temps mais tout peut recommencer Bye bye, bye bye   Il suffit d'y croire Bye bye, bye bye Trois mois de bonheur et trois saison pour rêver Bye bye, bye bye   C'est pas si mal     C'est pas si mal          Les rues sont devenues larges,        Bien des volets sont fermés.        Toutes les filles du village,         Écrivent aux villes et sèchent des larmes (En) cachette des parents.           Ma voiture n'est pas bien loin d'ici, Ne m'accompagne pas. J'emporte un peu de sable à mes pieds, Et sur mes lèvres un baiser. Bye bye, bye bye Tout n'a qu'un temps mais tout peut recommencer Bye bye, bye bye   Il suffit d'y croire Bye bye, bye bye Trois mois de bonheur et trois saison pour rêver Bye bye, bye bye   C'est pas si mal     C'est pas si mal         

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La chanson évoque une séparation douce-amère entre deux êtres. Peggy, qui rentre chez elle après une belle rencontre, laisse Claude, parti pour Bruxelles. Les souvenirs d'amour se mêlent à une nostalgie palpable, tandis que le quotidien reprend ses droits, marqué par des adieux empreints de mélancolie. Malgré le départ, l'espoir d'un renouveau est évoqué, laissant entrevoir la possibilité de futures retrouvailles. Le contexte semble s'ancrer dans une atmosphère estivale, pleine de promesses et de rêves, mais aussi teintée de la tristesse inhérente aux séparations. Les rues vides et les fenêtres closes symbolisent cette transition, où chacun doit poursuivre son chemin tout en gardant en lui une part des instants partagés. La chanson résonne alors comme un hommage aux moments éphémères mais précieux de la vie.