Sirenas

La Oreja de Van Gogh

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Quiero contarte que pasó Sin que mi rabia se amotine En la ciudad más bella que jamás vio el sol ¿Cómo explicar tanto dolor? Ya se han marchado las sirenas Lejos de San Sebastián Con sus penas y tristezas A cantar a otro lugar Cuando baja la marea Y la luna cura el mar Desde el cielo se lee en la arena "Que no pase nunca más" Nunca más Era en febrero una vez más Como olvidar esos sonidos Luces nerviosas recorriendo la ciudad Lo inexplicable en un portal Esto que te contaron Guardalo aquí mi niña No les podemos olvidar

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empty heart empty heart Db7, C7, A, Dbm, F#m, D5, E, D, Bm7
empty heart empty heart G, C, Am, D, Em
empty heart empty heart Am, G, F, Dm, E7, C, Em
empty heart empty heart Bb, Eb, Gm, F, Dm
empty heart empty heart F, Bb, Dm, C, Am, G, G#, Eb
empty heart empty heart Bb, A, D, G, B, E, F#m, Dbm, Bm, Db
empty heart empty heart C, Am, F, G, Em, E, Dm
empty heart empty heart A, E, D, A7, F#m, Dbm, G, Bm, F#, Db7
empty heart empty heart D, G, A, A7, Bm, F#m
empty heart empty heart A, Bm, F#m, Dbm, D, E
La chanson évoque la douleur et la nostalgie d'un amour perdu dans une ville idyllique. Elle parle d'un temps où la mélodie des sirènes symbolisait une joie éphémère, mais maintenant, elles s'éloignent, emportant avec elles les tristesses et les souvenirs précieux. À travers des images maritimes, l’artiste demande de ne jamais oublier ces moments, soulignant le lien profond entre la mémoire et le lieu. Le contexte se situe à San Sebastián, où les souvenirs d'événements marquants se mêlent à la beauté de la ville. Le tout est teinté d’une ambiance mélancolique, rappelant que même si les vagues peuvent recouvrir les traces du passé, il est essentiel de garder en soi les leçons et les souvenirs qui nous façonnent.