La Nia Que Llora En Tus Fiestas

La Oreja de Van Gogh

Transposer:

Vuela un columpio vacío sobre mi cabeza vuela por el cementerio de mi voluntad Sigo buscando la niña que llora en tus fiestas suenan campanas en flor por mi funeral   Mírame con la estrella polar a mis pies vuelvo a casa perdida otra vez porque no sé dejar de adorarte     Vuela un columpio vacío rozando la arena deja las huellas del ángel caído al pasar huellas que siempre me llevan a ti quitapenas como la dosis de vida fugaz que me diste a probar   Mírame con la estrella polar a mis pies vuelvo a casa perdida otra vez porque no sé dejar de adorarte     Pienso en ti cada vez que me alejo de mí cada vez que prefiero morir desde el día que tu me dijiste tu carita es una rosa sin abrir Mírame con la estrella polar a mis pies vuelvo a casa perdida otra vez porque no sé dejar de adorarte     Piensa en mí cada vez que me miras así se me cosen los labios a ti y la luna me pinta los ojos Mírame cada vez que te vas pienso en ti cada vez que prefiero morir cada vez que me besas así cada vez que te vas mírame

Du même artiste :

empty heart empty heart Am, G, C, F, E, C/G, Fm
empty heart empty heart A, E, B, F#m, Dbm
empty heart empty heart D, G, A, A7, C, Em, Am, E, Dm, F, Fm
empty heart empty heart Gm, Cm, F, Bb, D, Cm7, Eb
empty heart empty heart E, E7, A, B7, Dbm, G#7, B, F#m, D, C, G
empty heart empty heart F, C, Dm, A, Bb
empty heart empty heart B, G#m, E, F#, Dbm, G
empty heart empty heart Em, C, D, G, A
empty heart empty heart A, D, E, Db7, F#m, Bm, Eb7, G#m, B, F#, Dbm
La chanson évoque une nostalgie profonde et une quête désespérée, symbolisée par l'image d'une petite fille qui pleure lors de fêtes. L'interlocuteur semble perdu entre le souvenir d'un amour passé et l'aspiration à retrouver cette connexion. Les symboles tels que le balancement d'un fauteuil vide au-dessus de sa tête ou les empreintes laissées par un ange révèlent une lutte entre la légèreté des souvenirs d'enfance et la gravité d'une réalité pesante. Le contexte laisse transparaître une dualité entre l'évasion et la douleur, où chaque pensée de l'autre renforce une addiction à cet amour idéal. Les références à la nature, comme la lune et les étoiles, rappellent un lien mystique et transcendant, tandis que le retour constant à l’idée de ne pas pouvoir tourner la page souligne une dépendance affective parallèle à la perte.