Le crime

La Grande Sophie

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En boucle : Et là, elle a sorti son couteau Et puis, elle lui fait son affaire De la boucherie au kilo Elle le découpe en morceaux Et là, ça commence à faire peur Surtout si on sait qu'c'est un homme Car dans la pièce, ça sent le meurtre Et surtout le sang chaud Ça s'passe au fond du vestiaire Après un cours de natation Tout près, tout près des sanitaires Il la matait un peu trop C'est une histoire qui se vante D'avoir le mérite de vous plaire Écoute çà, ça enchante Les boutiques des mémères C'est une histoire Happiness Qui fera vendre des journaux Remplir les caisses de la presse Et ruiner les bedeaux Après, elle lui dit qu'il est beau Surtout que le rouge lui va bien Il n'entend plus trop Il est déjà bien loin Alors, elle l'embrasse très fort Il paraît que ça lui donne bonne mine Elle sait très bien qu'elle a tort Elle a commis un crime C'est une histoire qui se vante D'avoir le mérite de vous plaire Écoute çà, ça enchante Les boutiques des mémères Les radios vont toutes en parler Les journaux ne s'arréteront jamais La piscine fermera pour longtemps Pour nager, c'est embêtant Elle finira dans une prison Il finira dans un cimetière Et l'image qui fait sensation C'est le sang (et les vies serrent) C'est une histoire qui se vante D'avoir le mérite de vous plaire Écoute çà, ça enchante Les boutiques des mémères (2x)

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La chanson raconte l'histoire d'une femme qui, après avoir été importunée par un homme dans un vestiaire de piscine, réagit de manière dramatique en le menaçant avec un couteau. Ce qui commence comme une tension subie se transforme vite en un acte de violence, où elle le tue et le découpe. La scène est macabre, et le meurtre se mêle à des éléments de banalité, comme des potins qui circulent dans les médias. Au final, la femme doit faire face aux conséquences de son acte, tandis que la tragédie s'inscrit dans un récit aux accents de sensationnalisme, révélant un regard critique sur notre société avide de drames et d'histoires choquantes. Cette narration met en lumière des thèmes de souffrance, d'agression et de désespoir, tout en soulignant la manière dont le public se divertit de telles histoires.