Ce jour-là

La Grande Sophie

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| | | On prend des claques (On prend des claques) C'est le KO (C'est le KO) Un jour, tout craque (Un jour, tout craque) On dit ciao (On dit ciao) Des lendemains qui dansent On envoie tout valser En l'air, on lance "Je vais tout quitter" Mais où avais-je la tête Ce jour-là ? Mais où avais-je la tête Ce jour de trop ? On a des chocs (On a des chocs) Quand on aime trop (Quand on aime trop) Un jour, on bloque (Un jour, on bloque) C'est le grand saut (C'est le grand saut) Des lendemains qui penchent On part sur le côté À l'ouest ! On flanche "Je vais tout quitter" Mais où avais-je la tête Ce jour-là ? Mais où avais-je la tête Ce jour de trop ? |  |  |  |  | |  |  |  |  Des lendemains qui dansent On envoie tout valser En l'air, on lance "Je vais tout quitter" Mais où avais-je la tête Ce jour-là ? Mais où avais-je la tête Ce jour de trop ? On a des marques (On a des marques) Boulot, boulot (Boulot, boulot) Il faut qu'tu saches (Il faut qu'tu saches) On est accro (On est accro) Des lendemains qui penchent On part sur le côté À l'ouest ! On flanche "Je vais tout quitter" Mais où avais-je la tête Ce jour-là ? Mais où avais-je la tête Ce jour de trop ? Mais où avais-je la tête Ce jour-là ? Mais où avais-je la tête Ce jour de trop ? |  |  |  |  | | 

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empty heart empty heart Bm, F#m, A, E, D
empty heart empty heart Dm, Am, Bb, F, C, Em, G
empty heart empty heart D, Bm, F#m, G, A
empty heart empty heart E, F#m
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empty heart empty heart Am, Em, C, G, Dm, E, Fmaj7
empty heart empty heart Am, Em, G, D
empty heart empty heart Am, Em, G, D
Cette chanson évoque une lutte intérieure face aux épreuves de la vie et des relations. L'artiste parle des moments où l'on se sent débordé, où l'on prend des risques et où l'on envisage de tout laisser derrière soi. Il y a une prise de conscience d’être parfois à la limite, de ressentir des douleurs et des déceptions, mais aussi cette hésitation à prendre des décisions radicales. Dans un cadre plus large, ces paroles résonnent avec l’expérience de ceux qui, confrontés à la monotonie ou aux défis de leur existence, réfléchissent aux choix qu'ils ont faits et à leur impact. La répétition de cette question, « où avais-je la tête ? », souligne une forme de remords ou de surprise face à ces moments décisifs. C’est un appel à réfléchir sur notre parcours et les conséquences de nos actions.