Go, Go, Go
La Casa
Je suis en cavale Et le soleil me brûle la peau Je pleure mes amis d'infortune Ayant laissé leurs vies au combat Je me perds, mais j'ai l'espoir De refaire à neuf, ma vie un jour Où la terre est bonne, le ciel clément Et ton coeur près de moi, de temps en temps Le sable fouette mon visage Un vent tiède me pousse vers le nord Où rien ni personne ne m'attends Solitaire errant depuis la nuit des temps Je marche jusqu'à la frontière Et le soleil me brûle la peau Je perds mon souffle, la mort me guette Les vautours tournoient derrière mon dos Go, go, go, go, go, En el camino, go Go, go, go, go, go, En el camino J'entends les serpents qui sifflent Et tout qui s'affole autour de moi La vision trouble, les mirages en pagaille Et les rafales d'un vent sec qui écorchent le visage Les vautours affamés attendent ma débâcle Que je tombe, que je tombe, je les entends penser A un festin du genre qu'on en reprendrait bien A un de ces festins dont on se souvient Go, go, go, go, go, En el camino, go Go, go, go, go, go, En el camino Mais j'aperçois au loin la frontière qui avance J'aperçois au loin la frontière qui avance Est-ce une vision de plus ou la fin de mon voyage Une vision de plus ou la fin de mon voyage Go, go, go, go, go, En el camino, go Go, go, go, go, go, En el camino Go, go, go, go, go, En el camino, go Go, go, go, go, go, En el camino | | | | | | |