Les vapeurs

Karkwa

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Qui fait mal à ma tête C'est encore trop Trop de buildings à coucher et trop d'idéaux       Qui me glace le sang Me cloue au sol Toutes mes combines mes colombines Mes coups de feu dans l'école Dans les vapeurs de la tuerie La peur de rester pris Qui fait mal à ma tête C'est encore elle Je me suis si démesurément coupé les ailes        Qui me cloue au matelas Me tord les ouïes Celui qui ne rêve pas ne vit pas Qui rêve trop s'engourdit Dans les vapeurs de la tuerie La peur de rester pris    Il est trop tard pour me taire  Trop tard pour me faire taire Qui fait mal à ma tête C'est encore moi Qui m'arrache les cheveux au moindre tracas On dit de garder son calme Moi j'ai perdu le mien J'ai jamais voulu vous faire du mal Mais j'ai toujours eu du mal à vous faire du bien Dans les vapeurs de vos cris La peur d'y rester    Il est trop tard pour me taire  Trop tard pour me faire taire Il est trop tard pour me taire  Trop tard pour me faire taire

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Échapper au sort

G, Em, Cmaj7, Bm, D9/4
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Gm7, C9, Bb6, Cadd9, G#maj7, G5, Fadd9, Gm, F, G#, F6/9
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D#, C, G#, G, C#, Bb
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Le compteur

Fmaj7, Fmaj7/A, Am, Bb, F, Em, Ab, Eb, Dm, D, A, C, C5, Gm
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C, B, F, E, G, F#, Bb, A, Gm
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Gm7, C9, Bb6, Abmaj7, G5, Gm, F, Ab, F6/9
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Cette chanson évoque une lutte intérieure aiguë, marquée par une sensation de poids et d'angoisse. Elle parle des difficultés de vivre dans un monde qui semble écrasant, avec des idéaux qui se heurtent à la réalité. L'artiste exprime une détresse profonde, se sentant paralysé par ses propres pensées et une peur omniprésente qui l'empêche d'avancer. Les métaphores des bâtiments et des cris illustrent un environnement hostile, où la souffrance et la confusion dominent. Il semble aussi y avoir un conflit sur le fait de s'exprimer ou de rester silencieux, soulignant l'importance de dire ce qu'on ressent, même quand il est déjà peut-être trop tard pour le faire.