Acouphène, L

Karkwa

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Intro :(688700) J'écris dans ma chambre à gaz La folie, des images qui passent Sur mon lit coulent des couleurs de mauvais goût J'écris sans faire de détours Que j'envie la lumière du jour Et le bruit de la brisure Des vagues dans le cou Mais l'acouphène, La bille qui roule dans mon crâne L'acouphène me laissent un arrière goût De couper des têtes Le goût de crie de la bête me rend fou J'écris sous la guillotine Je m'ennuie du silence endorphine Dans mon ouïe, les bruits blancs sont de plus en plus noirs Et l'air, symphonie de vent J'ai besoin d'air Jouer comme un enfant La bille d'acouphène Si je pouvais la prendre, l'acouphène Je pourrais la lancer à travers la vitre, Oser      arrêter le rire, Me recoller  l'oreille  qui s'effrite et  repartir. (2x) Me recoller l'oreille qui s'effrite et repartir. 

Du même artiste :

empty heart empty heart E, E6, A, Dbm6, F#m, C#m, B, F#m7, C
empty heart empty heart A, Db, F#m, Dbm, E, D, Em, G
empty heart empty heart Gm7, C9, Bb6, Cadd9, G#maj7, G5, Fadd9, Gm, F, G#, F6/9
empty heart empty heart G, Gm/Bb, G7, Em, Gm/B, G5, C, D/A, Eb/Bb, Cm, Em7
empty heart empty heart Em, C, Bm, F#, F, Am, G, D, A, B
empty heart empty heart C, B, F, E, G, F#, Bb, A, Gm
empty heart empty heart D, Bm, B, E, G, F#m
empty heart empty heart G, Em, Cmaj7, Bm, D9/4
empty heart empty heart Em, Am, F#m, Fm, Gm
empty heart empty heart F#, Gm, Dm, Db, Fm, G#, Eb, Bbm, Eb7, Ebm
La chanson parle d'une lutte intérieure et d'un désir d'évasion face à la folie et à la douleur ressentie. L'artiste exprime son ennui et son besoin de sensations, tout en évoquant une sorte de souffrance persistante symbolisée par un acouphène, ce bruit intolérable qu'il porte dans sa tête. Il parle du désir de retrouver la légèreté de l'enfance et d'échapper à la désolation qui l'entoure, souhaitant presque se libérer de ce poids qui l’entrave. Le contexte semble être celui d'une introspection dans un monde où le silence devient assourdissant, où les bruits environnants se transforment en noirceur, accentuant une solitude éprouvante. L’artiste utilise des métaphores puissantes pour illustrer cette quête de paix et d'évasion, bien que cela paraisse presque désespéré.