Sublime et silence

Julien Doré

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Intro: | (x2) Sublime et silence Autour de moi, tu danses Et moi, j'oublie C'est à toi que je pense, À ta bouche brûlante Quand tu souris   Le vide aurait suffi           Le vide aurait suffi       Sublime et silence Autour de toi, tout tremble Et tout finit   C'est à moi que tu penses À nos ivresses blanches Je fuis Paris   Le vide aurait suffi           Le vide aurait suffi       Mais je sais que tu restes Dans les fleurs que j'te laisse Après la nuit   Violence et promesse C'est tout c'que tu détestes La mort aussi Le vide aurait suffi           Le vide aurait suffi       Je caresse ton absence La montagne et l'errance Et puis l'ennui La rivière te ressemble Du moins en apparence Pourtant tu fuis   Le vide aurait suffi           Le vide aurait suffi       Mais je sais que tu restes Dans les fleurs que j'te laisse Après la nuit   Violence et promesse C'est tout c'que tu détestes La mort aussi   Le vide aurait suffi           Le vide aurait suffi       (x2) Mais je sais que tu restes Dans les fleurs que j'te laisse Après la nuit   Violence et promesse C'est tout c'que tu détestes La mort aussi Mais je sais que tu restes        Mais je sais que tu restes       

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Cette chanson évoque des sentiments de nostalgie et de mélancolie, où l'auteur se remémore une relation intense malgré l'absence de l'autre. Il y a une danse entre le sublime et le vide, une oscillation entre la beauté des souvenirs et la douleur de la séparation. La présence de l’autre continue d’influencer sa vie, même en son absence, symbolisée par les fleurs laissées après la nuit. Le contexte semble être celui d'une introspection face au silence d'une rupture, explorant les promesses non tenues et les désirs inassouvis. La mention de Paris suggère une évasion, un besoin de fuir le tumulte urbain pour se retrouver face à soi-même, dans un lieu où les souvenirs peuvent s'entrelacer avec la douleur. C'est une réflexion sur l'amour, l'absence et la manière dont les blessures peuvent laisser des traces indélébiles.