Partir

Julien Clerc

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Depuis l'enfance Je suis toujours en partance Je vais je vis    Contre le cours de ma vie    Partir Partir On a toujours un bateau dans le coeur Un avion qui s'envole pour ailleurs Mais on n'est pas à l'heure       Partir Partir Même loin de quelqu'un Ou de quelqu'une Même pas pour aller chercher fortune Oh partir sans rien dire Vivre en s'en allant Et en s'envolant Et les gens l'argent Seraient du vent Mais c'est vrai le temps Nous prend trop de temps... Partir Partir Même loin loin de la région du coeur N'importe où la peau Change de couleur Partir avant qu'on meure Partir Partir Comme les trains sont bleus Quand on y pense Et les bateaux heureux Quand on y danse Oh partir sans rien dire Mais c'est vrai le temps Nous prend trop de temps Et on n'appareille Pour aucun soleil Et pendant ce temps On est vivant... Partir Partir On a toujours Un bateau dans le coeur Un avion qui s'envole Pour ailleurs Mais on n'est pas à l'heure Partir Partir Même loin loin de la région du coeur N'importe où la peau Change de couleur Partir avant qu'on meure Partir Partir Comme les trains sont bleus Quand on y pense Et les bateaux heureux Quand on y danse Oh partir sans rien dire

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empty heart empty heart F#, B, D#m, C#, Bb, Ebm, F, G#m7, A#m, B6
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empty heart empty heart Gm, Gm/F#, Gm/F, Ebmaj7, Cm7, Cm9, D7, G/F, F7, Bbmaj7, Bb, Bb/Ab, Cm, G7
empty heart empty heart Gm7, C7, F, F7, E7, Am7, D7, G, F6
La chanson évoque l'idée d'une quête incessante de fuite et d'évasion, où l'on ressent le besoin de partir pour explorer le monde. Malgré les liens et les attachements, il existe un désir latent de se libérer, de vivre sans contrainte. L'artiste soulève la question du temps qui passe, souvent trop vite, et de la manière dont il peut nous échapper si l'on ne prend pas les devants. Cette réflexion sur le départ et les voyages intérieurs dévoile un sentiment de dualité, entre l'envie de découvrir et la nécessité de rester présent et connecté.