Blasphème

Julien Clerc

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  (x3) La pluie mouille la ville Tu m'apparais comme l'éclair    Ton regard est toujours aussi vert Ta robe bleue, je l'éparpille Sur l'herbe de ma déraison Et ton bec d'oiseau cogne   Les sauterelles de ta bouche En disent long, je m'époumone   Je crie, je hurle et je déconne Tu me détruis, tu me construis Je te blasphème et puis je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime T'es une idée malade T'es la frousse qu'on lit dans mes yeux    Les réverbères me font des signes    Je suis dans le bateau des larmes Tu m'apparais comme l'éclair Comme la foudre, comme la poudre Tes revolvers crachent leur feu Tes rodéos me sont offerts   Tes sabres déchirent ma chair Tu me construis, tu me détruis Je te blasphème et puis je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime      Et j'ai déserté mon étoile Ma Grande Ourse et mon piano     Je suis un homme qui déraille Je suis foutu, je suis battu    Je te blasphème et puis je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime ; ouh ouh Ouh !  Je t'aime Etc.

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empty heart empty heart A, Em, Bm, E, F#m7, Dmaj9, E7, Am7, F, G, C, Em7
empty heart empty heart C, F#m11, B7, Am/C, Am6, Em, Em7, D/F#, G7/4, F, Gm7, Bbm6, Am7, D9, G/B, Cmaj7, F#m7
empty heart empty heart G6, D, G, Gm, Em7, A, A7, D7
empty heart empty heart B7, E, A, E7
empty heart empty heart Em, Am, D, G, C, B7, F#
empty heart empty heart F, Bb, C, C7, Dm, G7, Bbmaj9, A7
empty heart empty heart F, Gm, C, Am, Bb, A7, D7, G7, Bbm, E
empty heart empty heart Em, B7, Am, B, E7, G, C, C/E
empty heart empty heart A, E7/4, E7, A7, Bm7, E, Fmaj7, D, D6, Em, Cmaj7, G, A4
La chanson évoque une passion tumultueuse et contradictoire, où l'amour se mêle à des sentiments de désespoir et de folie. Le narrateur parle de la violence et de la beauté d'une relation qui le consume, le construit et le détruit à la fois. Il exprime une sorte de désarroi face à ces émotions, entre adoration et accusation, culminant dans un cri d'amour désespéré. Dans un décor urbain où la pluie rappelle une atmosphère mélancolique, les images de la nature et de la violence se mêlent, illustrant le paradoxe de cet amour qui est à la fois exaltant et douloureux. Le personnage semble perdu, abandonnant son passé et ses rêves tout en étant happé par cette attraction irrépressible.