Aimer, souffrir, pardonner et oublier

Julie et les frères Duguay

Transposer:

Intro : A l'église du village où nous allions tous les deux Le dimanche où nous étions heureux Je n'veux plus te voir partir et ainsi me faire souffrir Aimer, souffrir, pardonner et oublier   Les cloches sonneront pour toi, les coeurs seront dans l'espoir Auras-tu les mêmes pensées pour moi ? Pourras-tu te retourner, un instant, me regarder ? Aimer, souffrir, pardonner et oublier Instrumental :                A la sortie de l'église, tu la prendras dans tes bras Moi, le coeur serré, je reste là Tout au long de ma vie, mes parents m'ont appris A aimer, souffrir, pardonner et oublier   Les cloches sonneront pour toi, les coeurs seront dans l'espoir Auras-tu une pensée pour moi ? Pourras-tu te retourner, un instant, me regarder ? Aimer, souffrir, pardonner, et oublier Aimer, souffrir, pardonner et oublier. 

Du même artiste :

La chanson évoque le parcours émotionnel d’un amour perdu, partagé dans un cadre familier, celui de l’église où le couple se retrouvait autrefois. Le narrator exprime sa douleur face à l'absence de l'autre et son désir de ne plus souffrir. Entre l'espoir et la mélancolie, il se questionne sur les sentiments de l'autre, souhaitant un regard en arrière, un geste de tendresse qui raviverait un peu de bonheur. Le refrain rappelle un cycle universel : aimer, souffrir, pardonner et éventuellement oublier. C'est une réflexion sur la nature des relations humaines, marquées par des moments de joie et de tristesse, où le pardon est une étape nécessaire dans le cheminement vers la paix intérieure. Le cadre de l’église accentue la profondeur de ces sentiments, ancrant l'expérience personnelle dans un lieu chargé de mémoire et de spiritualité.