Guantanamera

Jose Marti

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Intro : (x2) Yo soy un hombre sincero, De donde crece la palma Yo soy un hombre sincero, De donde crece la palma Y antes de morirme quiero Echar mis versos de alma Guantanamera, guajira guantanamera Guantanamera, guajira guantanamera Mi verso es de un verde claro Y de un carmin encendido (2x) Mi verso es un ciervo herido Que busca en el monte amparo Con los pobres de la tierra quiero Yo mi suerte echar (2x) El arroyo de la sierra Me complace mas que el mar Paroles françaises : (Jean-Michel Rivat) Guantanamera, ma ville Guantanamera. Guantanamera, ma ville Guantanamera C'était un homme en déroute, C'était un frère sans doute Il n'avait n'y lien n'y place Et sur les routes de l'exil Sur les sentiers sur les places, Il parlait de sa ville Guantanamera, ma ville Guantanamera. Guantanamera, ma ville Guantanamera Là-bas, sa maison de misère Était plus blanche que le coton Les rues de sable et de terre Sentaient le rhum et le melon Sous leur jupon de dentelles, Dieu, que les femmes étaient belles Guantanamera, ma ville Guantanamera. Guantanamera, ma ville Guantanamera Il me reste toute la terre Mais je n'en demandais pas autant Quand j'ai passé la frontière, Il n'y avait plus rien devant J'allais d'escale en escale, Loin de ma terre natale Guantanamera, ma ville Guantanamera. Guantanamera, ma ville Guantanamera

La chanson évoque la sincérité et les racines profondes de celui qui parle, exprimant un sentiment de nostalgie pour sa terre natale. À travers des images poétiques, l'auteur dépeint une vie marquée par l'exil, où il se remémore une maison simple et une nature généreuse, contrastant avec la tristesse de son départ. Les références à la beauté des femmes et aux souvenirs d'enfance témoignent d'un attachement fort, malgré les épreuves et l'absence de repères. Ce contexte est ancré dans l'histoire de nombreuses personnes forcées de quitter leur pays, évoquant les luttes des exilés et leur quête d'identité et d'appartenance, souvent liée à des souvenirs d'un passé heureux et authentique.