Un enfant du siècle
Johnny Hallyday
| | | | | | | | | Un siècle sans promesses Un enfant qui respire Cette vie qui nous blesse A mesure que s'effacent Nos plus beaux souvenirs Ou meure l'adrénaline De cette solitude Faut-il payer le prix Pour sentir qu'on existe Au milieu de ces ruines Je me rappelle, je jure De chacune des blessures En moi Puisque le ciel est grand Que le temps nous tue Que restera-t-il de nous ? Puisqu'on fait semblant Et qu'on s'habitue A ne rien se dire du tout Qui sauv'ra les vestiges ? D'une vie de sacrifice Suis-je encore cet enfant Qui garde au fond des yeux Les feux sans artifice ? Je t'aim'rai comme hier A m'en glacer le sang Les courses en solitaire Sans la chaleur humaine Se perdent avec le temps Je me rappelle, je jure De chacune des blessures En moi Puisque le ciel est grand Que le temps nous tue Que restera-t-il de nous ? Puisqu'on fait semblant Et qu'on s'habitue A ne rien se dire du tout Puisque le ciel est grand Que le temps nous tue Que restera-t-il de nous ? Puisqu'on fait semblant Et qu'on s'habitue A ne rien se dire du tout | | | | | | | | | | | | | | Puisque le ciel est grand Que le temps nous tue Que restera-t-il de nous ? Puisqu'on fait semblant Et qu'on s'habitue A ne rien se dire du tout Puisque le ciel est grand Que le temps nous tue Que restera-t-il de nous ? Puisqu'on fait semblant Et qu'on s'habitue A ne rien se dire du tout