Quelques cris

Johnny Hallyday

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Oh  oh...                                              Le premier cri que j’ai poussé C’était un cri de nouveau-né Le jour où ma mère me mit bas  Nu sanglant entre ses draps  L’éclat du soleil me fit peur oui me fit peur La deuxième fois que j’ai crié Ce fut un cri de volupté Lorsqu’une femme m’attira  Nu tremblant entre ses bras  L’éclat du plaisir me fit peur oui me fit peur  J’avais le regard      affamé___é L’air égaré du mal-aimé   L’air du garçon qui ne sait pas  Que deux corps parfois se foudroient Que deux corps parfois se foudroient Le troisième cri que j’ai lancé Fut celui de l’homme comblé Lorsque la foule me rappela  En scène pour la dixième fois  L’éclat du succès me fit peur oh me fit peur Si aujourd’hui je ne crie plus C’est qu’une autre a pris le dessus Elle parle peu ; elle parle bas  La solitude brise ma voix  L’écho de ma vie me fait peur oui me fait peur  J’avais le regard      affamé... é L’air égaré du mal-aimé   L’air du garçon qui ne sait pas  Que deux corps parfois se foudroient Que deux corps parfois se foudroient   Instrumental :  La dernière fois oui la dernière fois  J’avais le regard      affamé... é L’air égaré du mal-aimé   L’air du garçon qui ne sait pas  Que deux corps parfois se foudroient  J’avais le regard      affamé... é L’air égaré du mal-aimé   L’air du garçon qui ne sait pas  Que deux corps parfois se foudroient Instrumental :/ /               / / L’air du garçon qui ne sait pas  Que deux corps parfois se foudroient Que deux corps parfois se foudroient /// /// ...   /

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empty heart empty heart Am, G, F, E7, Dm, Am/G, Cmaj7
empty heart empty heart C, G, Am, D7, E4, E7, G4, Dm, A4, A7, G7, D
empty heart empty heart Dm, Bb, A7, F, C
empty heart empty heart E, E7, A, A7, B7, B
Cette chanson raconte l'histoire de la vie d'un homme à travers ses cris, symboles des moments marquants de son existence. Il commence par évoquer la peur qu'il ressent à la naissance, un cri de nouveau-né dans un monde qui lui est encore étranger. Puis, il se souvient de l'intensité d'un premier amour, un cri de passion partagé qui témoigne de l'immensité des sentiments. Le chemin continue avec la reconnaissance du succès sur scène, où il ressent une joie mêlée d'angoisse face à la foule qui l'acclame. Au fil des vers, une ombre de solitude s’installe, rappelant que malgré la gloire et les plaisirs, il y a une lutte intérieure. Les cris, non plus présents, laissent place à un silence pesant, où l’homme se confronte à la mélancolie d’un regard affamé de connexion véritable. Cette réflexion sur la dualité des corps, l’impermanence des émotions et la quête de sens donne corps à des sentiments universels que chacun peut comprendre, même au-delà des simples mots.