La guitare fait mal

Johnny Hallyday

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Toute la nuit, il a joué sur sa guitare Au fond d'un vieux café Un peu de soleil, sur le goudron mouillé Les gens s'en vont, le jour va se lever C'est la dernière chanson, d'un amour blessé Y a la guerre quelque part, loin du café Comme un amour bizzare qui veut jamais rentrer Tout ça est normal et la guitare fait mal         La femme qui vient le soir, s'habille en noir Elle sourit quand il joue le blues Elle demande chaque soir, la même chanson La même chanson qui est toute une histoire Et c'est son parfum qui traîne dans le matin On empile des chaises, pour balayer C'est toute une histoire qu'il faudrait oublier Tout ça est normal et la guitare fait mal Il y a pas si longtemps, pas très longtemps Il jouait pour pouvoir l'aimer Malgré les journées où il perdait sa vie Pour la voir arriver quand venait la nuit Il attend la nuit et cette femme aussi Comme on attend son dernier train Qui va l'emporter vers son vrai destin Tout ça est normal et la guitare fait mal

Du même artiste :

empty heart empty heart Abm, Eb, E
empty heart empty heart G, Em, C, D, B7, A7, D7, Eb7, Ab, Fm, Db, Eb, C7, Bb7
empty heart empty heart F, C, Am, G, Dm, G7
empty heart empty heart A, F#m, D, E7, Bm, C#m
empty heart empty heart D, E, E6, A, E7, C#7, Dm, F#m, B, B7
empty heart empty heart Em, B, A, C, G, D
Dans cette chanson, un homme joue de la guitare dans un café désert, évoquant la mélancolie d'un amour perdu. La nuit est un moment de refuge pour lui, où il se remémore des souvenirs d'une femme qui l’a profondément touché. Bien que le jour se lève, il reste attaché à cette mélodie qui raconte une histoire d’attente et de douleur. Le cadre semble empreint de nostalgie, un café symbolisant des moments partagés, où les souvenirs d'une passion passée s'entrelacent avec la mélancolie présente. L'atmosphère est chargée de sentiments contradictoires, entre l'espoir de revivre des instants heureux et la réalité d'une séparation. C'est un tableau d'une vie pleine de promesses et de regrets, où la musique devient le reflet des blessures de l'âme.