Les jours s'en vont pareils

Joe Dassin

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Le vent vient de la mer La vague suit son cours Une femme aux yeux verts A ri de mes amours Et mes souliers Jamais ne finiront de voyager             Les jours s'en vont pareils Et je n'ai sur le dos Qu'un peu de soleil Qui m'a cuivré la peau Et mes souliers Jamais ne finiront de voyager             Le temps use la vie Le temps use l'amour Il n'est jamais de retour Et si je n'emporte rien dans mes mains C'est qu'au dernier matin Je m'en irai nu, comme je suis venu Combien j'ai vu de villes Qui mènent à des faubourgs À des gens si dociles Qu'ils travaillent toujours Et mes souliers Jamais ne finiront de voyager             On porte le coton On porte le blé Quand revient la saison Il faut recommencer Et mes souliers Jamais ne finiront de voyager             De voyager …

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La chanson évoque le passage du temps et le caractère éphémère de la vie. Elle parle d'un voyageur qui observe le monde qui l'entoure, se remémorant ses amours tout en constatant que les jours s'écoulent inéluctablement. Il reconnaît que, malgré ses périples, il ne garde rien de matériel et qu'il finira par s'en aller comme il est venu, sans rien emporter de tangible. Dans un ton mélancolique, l'artiste souligne les routines de la vie et le poids des saisons qui se répètent, ainsi que l’inéluctabilité du temps qui use tout, y compris les souvenirs d'amour. La référence aux souliers qui voyagent sans fin symbolise cette quête perpétuelle et cette sensibilisation à la réalité de l'existence.