L'albatros

Joe Dassin

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Intro :         Hummm... Vois cet oiseau blanc prisonnier du ciel Dans sa grande cage étoilée ! Moi, de temps en temps, je me sens pareil A cet éternel exilé Lui, qui ne sait pas replier ses ailes, Moi, qui ne sais pas m'arrêter.   Instrumental : Vois cet oiseau blanc prisonnier du ciel Dans sa grande cage étoilée ! Moi, de temps en temps, je me sens pareil A ce voyageur fatigué. Toi, de tout en bas, parfois tu l'appelles. Lui, il voudrait bien se poser, Mais il ne peut pas replier ses ailes Et toi, tu ne peux pas t'envoler. Instrumental : (Ad libitum)

Du même artiste :

empty heart empty heart Am, Em, Dm, E7, A7, G, C, E, D, Eb
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empty heart empty heart F7, Cm7, Bb7, Eb
empty heart empty heart F, C7, F7, Bb, Bbm, F#, C#7, F#7, B, Bm, G, D7, G7, C, Cm
empty heart empty heart F, C7, F7, Bb, Gm, Am, Dm, Eb, C, Gm7
empty heart empty heart Em, Dm, G7, C, G
empty heart empty heart Am, Dm, G7, C, E7, E
empty heart empty heart A6, E, Am, G#m, C#7, F#9, C, B7, A, D9, G#m/D#, E/D, C#m7, E/B
La chanson évoque la métaphore d'un oiseau blanc qui semble piégé dans l'immensité du ciel, symbolisant un sentiment d'isolement et d'impuissance. Le chanteur se compare à cet oiseau, se sentant aussi comme un éternel voyageur sans repos, incapable de trouver sa place. Il souligne la difficulté de lâcher prise et de se poser, tout en faisant écho au désir de liberté qui nous habite tous. Le contexte de cette chanson pourrait être lié à une réflexion sur la quête de sens et sur les luttes intérieures que chacun peut éprouver face aux contraintes de la vie. C'est un rappel poétique de notre humanité, avec ses aspirations et ses limites.