L'été indien

Joe Dassin

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Tu sais je n’ai jamais été aussi heureux que ce matin-là Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci C’était l’automne un automne où il faisait beau  Une saison qui n’existe que dans le Nord de l’Amérique  Là-bas on l’appelle l’été indien  Mais c’était tout simplement le nôtre Avec ta robe longue tu ressemblais  A une aquarelle de Marie Laurencin  Et je me souviens je me souviens très bien  De ce que je t’ai dit ce matin-là  Il y a un an y’a un siècle  Y’a une éternité. On ira où tu voudras quand tu voudras Et on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort Toute la vie sera pareille à ce matin Aux couleurs de l’été indien  Aujourd’hui je suis très loin de ce matin d’automne  Mais c’est comme si j’y étais. Je pense à toi.  Où es-tu ? Que fais-tu ?  Est-ce que j’existe encore pour toi ?  Je regarde cette vague qui n’atteindra jamais la dune  Tu vois comme elle je reviens en arrière  Comme elle je me couche sur le sable  Et je me souviens je me souviens des marées hautes  Du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer  Il y a une éternité un siècle il y a un an  On ira où tu voudras quand tu voudras Et on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort  Toute la vie sera pareille à ce matin  Aux couleurs de l’été indien.         

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empty heart empty heart Bm7, E7, A, F#m7, E, D, Bm, B7
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Cette chanson évoque la nostalgie d’un moment heureux partagé sur une plage durant un beau matin d’automne, où l’amour et le bonheur semblaient éternels. Le narrateur se remémore une relation passée, pleine de promesses et de douceur, tout en exprimant un puissant sentiment de manque face à l'absence de l'être aimé. Il fait le parallèle entre les souvenirs précieux et le temps qui passe, évoquant une beauté fragile, à l’image de l’été indien, une saison unique qui ne dure jamais. Chaque souvenir est teinté de mélancolie, comme une vague qui ne parvient jamais à toucher le rivage. C’est une réflexion sur l’amour, la distance et le pouvoir des souvenirs.