Verseau
Jean-Louis Murat
Quand je n'ai pas pris le temps, sur l'instant, de répondre A ton caprice d'enfant j'étais je te jure innocent De tout ce fatrin qui empoisonnait l'adolescent C'est la courroie du temps Qui se détend, je la retends Mon lance-pierre était trop grand Je ne visais rien ça je m'en défend Ce n'était qu'histoire de cesser de te jeter de l'eau Ce n'est toujours qu'histoire de cesser d'être idiot Puis ce fut tu m'as laissé tu n'as rien tenu de tes promesses Tu n'es qu'un connard tu m'as eu J'ai perdu tant de temps aujourd'hui je n'ai plus d'espoir C'est la courroie du temps Qui se détend, je la retends Mon lance-pierre était trop grand Je ne visais rien ça je m'en défend Ce n'était qu'histoire de cesser de te jeter de l'eau Ce n'est toujours qu'histoire de cesser d'être idiot Puis ce fut ne pars pas ... vois je ne suis qu'une pauvre merde Sans toi ne dis plus tous ces mots Je t'ai cru, quand toi tu ne les croyais pas C'est la courroie du temps Qui se détend, je la retends Mon lance-pierre était trop grand Je ne visais rien ça je m'en défend Ce n'était qu'histoire de cesser de te jeter de l'eau Ce n'est toujours qu'histoire de cesser d'être idiot C'est la courroie du temps Qui se détend, je la retends Mon lance-pierre était trop grand Je ne visais rien ça je m'en défend Ce n'était qu'histoire de cesser de te jeter de l'eau Ce n'est toujours qu'histoire de cesser d'être idiot Oh ce n'était qu'histoire… Hé Hé Hé Ce n'est toujours qu'histoire… Hé Hé Hé Ce n'était qu'histoire de cesser d'être idiot Ce n'est toujours qu'histoire de cesser d'être idiot