Rock 'n' roll pauvreté

Jean Leloup

Transposer:

Dans une avenue je me baladais, Rock'n'roll et Pauvreté J'étais seul et puis tu me manquais, RnR et Pauvreté Dans une avenue je mendiais, encore et toujours cassé Le nouveau quartier j'inaugurais ; il y avait des possibilités Comme d'habitude j'avais trop bu,comme d'habitude je m'étais perdu Encore et toujours irresponsable, encore et toujours irrespirable J'ai tant aimé Virginie, je suis un homme fini,    tout est fini, tout est fini (2x)      Dans une avenue je m'habituais, je me sentais bien chez moi Il y avait plein de jolis endroits ou je m'asseyais en pensant à toi Il y a un parc ou je vais souvent, je m'y couche comme sur un divan J'ai fait installer 2 jolis bancs, je m'y couche comme sur un divan J'ai tant aimé Virginie, je suis un homme fini,    tout est fini, tout est fini (2x)       (Instrumental) Dans une avenue je m'installais, dans une avenue je m'incrustais On commençait à parler de moi, les policiers commençaient de s'occuper de moi Je devenais de plus en plus important, je devenais la cible des grands Et c'est pourquoi encore je vais déménager, vas-tu réussir à me retrouver ? J'ai tant aimé Virginie, je suis un homme fini,    tout est fini, tout est fini (2x)      

Du même artiste :

empty heart empty heart F#m, B9, E, Am, D
empty heart empty heart Dm, Dmaj9, Gm, C, F, Bb
empty heart empty heart Dm, A, G, F, Bb, C
empty heart empty heart E7, B, D, F, C, G
empty heart empty heart Em, B7/F#, Am, G, B, C/G, D
empty heart empty heart A, Am, C, B, E, F, Dm, C#, G#, G
empty heart empty heart F#m, A, E
empty heart empty heart Gm, Cm7, Cm, F, D, C, G
empty heart empty heart Em, Am, C, G
La chanson évoque une balade dans une ville où l’auteur se sent perdu et nostalgiques, hanté par l'absence d'une personne qu'il a tant aimée, Virginie. Il décrit un quotidien marqué par la solitude, la pauvreté, et des réflexions sur son existence, comme s'il vivait dans une sorte de rêve éveillé où, malgré des souvenirs doux-amers, il se sent fini, sans espoir de renouveau. La mélancolie de ses errances dans des lieux familiers contraste avec une certaine acceptation de son sort, où il finit par s'installer dans sa propre misère, faisant face à son identité de marginal. On perçoit aussi une lutte personnelle, entre le désir d'échapper à son passé et l’impossibilité de vraiment s’en défaire, rendant la situation d’autant plus poignante. Dans le fond, ces paroles parlent de l’amour perdu et des conséquences d'une vie de débauche, tout en cherchant une forme d’appartenance au sein de la lutte contre la pauvreté.