Quelque part, quelqu'un

Jean-Jacques Goldman

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Intro :    (3x)           Six planètes en plus de notre terre Six continents dans cinq océans Douze mois pour une année entière Cinq milliards de gens et tellement d'absents Huit et un mois pour une grossesse Douze apôtres et dix commandements Quatre et deux piliers d'une sagesse Et quelque part, surement, quelqu'un qui m'attend (2x) Trente six justes, autant de chandelles Dans cinq cents millions de galaxies Trois glorieuses mais sept merveilles Quatre saisons plus belles après Vivaldi Cinq sens et sept plaies d'Egypte Trois dimensions, quatre vérités Vingt et quatre livre, une bible Et quelque part, surement, quelqu'un à aimer Et je me fous bien des trois mousquetaires De mes quatre ou cinq litres de sang Mais je ferais plus de cent ans de guerre Pour être à elle à deux cent pour cent Des jours à Pékin, trois sifflets d'un train Trois types de rencontres et sept nains Sept samouraïs et 101 dalmatiens Et quelque part, surement, rien qu'à moi, quelqu'un Ouh...  (x3)      Six planètes en plus de notre terre Six continents dans cinq océans Douze mois pour une année entière Et quelque part, surement, quelqu'un qui m'attend

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La chanson évoque l'immensité du monde et des relations humaines à travers des chiffres et des références culturelles, créant une sorte de tableau poétique de notre existence. Elle parle de la solitude ressentie au milieu des milliards de personnes qui peuplent la Terre, tout en gardant l'espoir qu'il existe quelque part, quelqu'un d'important qui attend d’être rencontré. Les images évoquées, des planètes aux apôtres, nous rappellent que malgré la multitude et la diversité de la vie, l'amour et les connexions humaines sont ce qui compte le plus. L'artiste fait également référence à des éléments de la culture populaire et de la sagesse, révélant une recherche de sens et d'appartenance. En fin de compte, cette quête de coeur est universelle, transcendant le temps et l'espace, et soulignant le désir humain d’être aimé et d’aimer en retour.