Natacha
Jean-Jacques Goldman
De mille ans de froid, de toundra De toutes ces Russie qui coulent en toi De trop d'hivers et d'espoirs et d'ivresse Au chant des Balalaïkas Tu dis qu'on a peur et qu'on glisse en ses peurs Comme glissent les nuits de Viatka Dans chacun de tes baisers Natacha C'est tout ça qui m'attache à toi