À Santiago

Jean Ferrat

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Intro : À Santiago de Cuba     À Santiago de Cuba Le carnaval nous entraîne Quatre nuits sans perdre haleine L'orgue oriental se déchaîne Et moi qui danse comme un troène. À Santiago de Cuba Le rhum qui coule du tonnerre La serviette en bandoulière J'avais l'air de quoi ma mère Moi moi qui danse comme une soupière C'était dur !          À Santiago de Cuba Un sombréro fantastique Un cigare astronomique La musique la musique Et moi qui danse comme une barrique C'était très dur !     À Santiago de Cuba Les petits seins des métisses Du miel et du pain d'épices Je côtoie des précipices Et moi qui danse comme une saucisse.     Allez mon vieux, faut tenir hein !       À Santiago de Cuba

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empty heart empty heart C, G7, G, Dm, Am, F, Em, E, E7, Ab7, Db, Ebm
La chanson évoque une expérience festive à Santiago de Cuba, où l'ambiance du carnaval entraîne le narrateur dans une danse enivrante. Il parle des plaisirs simples et des distractions, comme le rhum et la musique, tout en exprimant une certaine légèreté, presque une autodérision, sur sa façon de danser. Les images de la vie locale, des métisses et des plaisirs authentiques, viennent enrichir sa description d'une nuit de fête où tout semble exagéré, tout en gardant un ton humoristique. Le contexte montre une célébration culturelle, où la danse et la musique sont au cœur des festivités. C’est un hommage à la joie de vivre et à la convivialité qui règnent dans ce coin du monde, loin des préoccupations quotidiennes.