Je me fous d'avoir vieilli

Jean-Claude Pascal

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Intro :                                     Ça fait tort à ma jeunesse A mes années de paresse Ça fait tort à mon esprit A tous les soirs de décembre Où je rêvais dans ma chambre Oui j'ai tort d'avoir grandi   Dans ce monde en décadence Il faudrait payer d'avance Payer sans savoir le prix Pour conserver ses images Son passé d'enfant sauvage Moi je ne l'ai pas compris N'en déplaise aux gens qui pensent Pour préserver mon silence Je préfère vivre sans bruit J'ai fermé toutes mes portes Aux requins de toutes sortes Aux marchands de théories Le temps vous guette et vous lasse A l'affût derrière la glace Au matin des longues nuits Déjà s'effeuillent les arbres Et sur les statues de marbre Il y a des larmes de pluie Si j'ai perdu ma jeunesse J'ai conservé ma paresse Mon humour et ma folie Et de janvier à décembre Dans tes bras et dans ma chambre Je me fous d'avoir vieilli …

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La chanson exprime une indifférence face au vieillissement et aux attentes de la société. Elle évoque le regret d'avoir perdu une certaine insouciance de l'enfance, mais tout en affirmant que des choses essentielles, comme l'humour et la folie, restent intactes. L'artiste exprime un besoin de se protéger des jugements extérieurs et des théories superficielles, choisissant plutôt de vivre dans un espace de paix et de simplicité. Dans un contexte plus large, cette réflexion sur le passage du temps et le poids des attentes sociétales résonne avec un sentiment universel de nostalgie et d’acceptation de soi, invitant chacun à trouver sa propre voie sans se soucier du regard des autres. C'est un hommage à cette joie persistante malgré les aléas de la vie.