Près du coeur les blessures

Hugues Aufray

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Un jour ou l'autre sur sa route Alors qu'on s'est cru le plus fort     L'angoisse vient et puis le doute On est debout parmi les morts Deux fleurs fanées sur une tombe On se souvient que l'on aimait [Refrain :] Près du cœur, les blessures Ne se ferment jamais Là -bas, dans son pays de neige Les toits des maisons sont penchés      Sans elle, aujourd'hui, que serais-je L'arbre vivant déraciné Vierge au visage de Madone Des yeux de fille nous dénonçaient [Refrain] On dit chez moi que les nomades Sur les chemins, s'en vont par deux      Si ma raison battait chamade Que les prisons brûlent mes yeux Aurais-je su garder silence Pour sauver le frère que j'aimais [Refrain]

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Cette chanson évoque la fragilité de l’existence humaine et la douleur des souvenirs perdus. Elle rappelle que, malgré notre force apparente, nous sommes souvent confrontés à l'angoisse et au doute, surtout lorsque nous perdons un être cher. Les images de fleurs fanées et de tombes symbolisent la nostalgie et la tristesse qui résident dans notre cœur, des blessures qui ne guérissent pas vraiment avec le temps. Le narrateur évoque également cette quête de sens et de réconfort dans un monde qui semble parfois dévasté et froid, illustré par un paysage désolé. On ressent une lutte intérieure entre la raison et les émotions, et une hésitation à exprimer son véritable chagrin afin de protéger ceux que l'on aime. L'ensemble crée une atmosphère introspective, reflet des complexités de l'amour et de la perte.