Le grand cercle de la vie

Hugues Aufray

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

J'étais debout seul près de la pierre Où repose en paix mon frère Dans l'ombre bleue d'un grand cyprès Le vent du soir me chantait : Notre monde, c'est une chaîne Un même espoir nous unit Que jamais, Dieu, ne se brise Le grand cercle de la vie. Quand j'ai vu tomber notre vieux chêne Sous les coups du bûcheron J'ai dit : Pardon, mon pauvre chêne C'était pour bâtir ma maison. Toi qui cerches dans ton brouillard D'où tu viens et où tu vas Ne cherche plus, tu t'égares Tu es un univers rien qu'à toi. Je suis le sud, je suis le nord Je suis le diamant et l'or Je suis la vie, je suis la mort Je suis l'espace et le temps.

Du même artiste :

Et si moi je ne veux pas

G, C, D, D7

Sur les péniches de l'Erie Canal

Dm, F, C, Bb, A, A7

Un marin, c'est bien

C, F, D7, G7, Bb, C7, E

À bientot nous deux

D, G, A7, F#7, Bm, F#m, Em, E7, D7

Tchin tchin

Dm, A7, D7, Gm, Am, Ebm, Bb7, Eb7, Abm

Y a un homme qui rôde et qui prend des noms

C, A, Am, E, A7, D7, D6

Laisse-moi petite fille

C, F, D7, G7, C7, Fm, G, Dm, Em, Am

Hasta Luego

E, Am, G, C, Dm, Em

Tendez-lui la main

Bb, F, C7, A7, Dm, Dm7, Am, Gm9, C

Dam di dam

Dm, Bb, A7, F, C7, Ab, E7, A, C

Cette chanson évoque un moment de réflexion et de connexion avec la nature, en particulier l'idée que la vie est une sorte de cercle, où chacun est lié à l'autre par un espoir commun. Le protagoniste se souvient de son frère décédé, exprimant à la fois douleur et sérénité face à la perte. Il observe le monde qui l'entoure et réalise l'importance des éléments naturels, comme le vieux chêne, dont la chute symbolise un sacrifice nécessaire pour construire un avenir. Il encourage ceux qui cherchent leur chemin à comprendre qu'ils font également partie d'un vaste univers qui les englobe. Le contexte de cette chanson semble tirer ses racines d'une expérience personnelle et universelle à la fois, où le souvenir d'êtres chers et la contemplation des forces de la nature rappellent que la vie, avec ses hauts et ses bas, fait partie d'un tout plus grand. Cette réflexion sur l'existence souligne l'harmonie entre la vie et la mort, le temps et l'espace, créant une belle métaphore sur notre place dans le monde.

Le Chansonnier