Dès que le printemps revient

Hugues Aufray

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les filles sont jolies dès que le printemps est là    Mais les serments s'oublient dès que le printemps s'en va            Là-bas dans la prairie j'attends toujours, mais en vain Une fille en organdi dès que le printemps revient. Non, le temps n'y fait rien, Oh non, le temps n'y peut rien     Je repense à ses yeux dès que le printemps est là Je revois nos adieux dès que le printemps s'en va Mais son image rôde au détour de mon chemin Quand les soirées se font chaudes dès que le printemps revient. Je crois la retrouver dès que le printemps est là Je cesse d'y rêver dès que le printemps s'en va Après bien des hivers pourtant mon coeur se souvient Comme si c'était hier dès que le printemps revient. Parfois je veux mourir dès que le printemps est là Je crois toujours guérir dès que le printemps s'en va Mais je sens la brûlure d'une douleur qui m'étreint Comme une ancienne blessure dès que le printemps revient (x2)

Du même artiste :

empty heart empty heart G, D, Em, Am, E7, D7
empty heart empty heart D, A, D4, F#m, G, Bm
empty heart empty heart E, Am, G, C, Dm, Em
empty heart empty heart Dm, A7, D7, Gm, Am, Ebm, Bb7, Eb7, Abm
empty heart empty heart C, G, G7, C7, F
empty heart empty heart G, C, C4, F, G7, C/B, Am, F/E, Dm7, G4
Cette chanson évoque les souvenirs d’un amour passé, qui resurgissent chaque fois que revient le printemps. L’artiste exprime comment la beauté et la légèreté de la saison exacerbent ses émotions, le poussant à se remémorer une jeune femme qu’il a aimée. À chaque printemps, il ressent l'espoir de la retrouver, bien qu'il soit également assailli par la douleur de sa perte. Le texte joue sur ce contraste entre la promesse de renouveau et la mélancolie des souvenirs, où le printemps devient à la fois un symbole de joie et une source de nostalgie. C'est une réflexion poétique sur le passage du temps et la difficulté d'oublier un amour qui semble toujours présent dans son cœur.