La valse de l’enfance

Henri Seroka

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Seule dans une ronde folle Seule je te vois qui t'envole Seule je t'aperçois heureuse Et qui danse la valse de l'enfance Seule parmi les fleurs nouvelles Seule au milieu des plus belles Seule je te vois merveilleuse Et tu danses la valse de l'enfance Quand vient le jour Tu t'enfuies toujours Et je m'éveille Tu es si belle au soleil Seule dans une ronde folle Seule je te vois qui t'envole Seule je t'aperçois heureuse Et qui danse la valse de l'enfance Seule parmi les fleurs nouvelles Seule au milieu des plus belles Seule je te vois merveilleuse Et tu danses la valse de l'enfance Je t'ai retrouvé Sous un ciel d'été Tu m'appelais Et tes yeux m'entrainaient Et dans cette ronde folle Et dans cette farandole Et repris par la cadence Nous dansons la valse de l'enfance Et dans cette ronde folle Et dans cette farandole Et repris par la cadence Nous dansons la valse de l'enfance La, la, la, la, la, la … La, la, la, la, la, la … La, la, la, la, la, la … La, la, la, la, la, la …    La, la, la, la, la, la … La, la, la, la, la, la … La, la, la, la, la, la … La, la, la, la, la, la … (ad lib)

Cette chanson évoque la nostalgie de l'enfance et la beauté des moments simples et joyeux. On y décrit une danse merveilleuse, pleine de légèreté et de couleur, où la personne qui chante observe une figure bien-aimée qui s'envole et flotte parmi les fleurs. Elle se sent seule mais émerveillée en contemplant cette danse, cet élan de bonheur qui représente l'innocence de l'enfance. Le contexte semble se situer dans un souvenir doux, peut-être un été révolu, où l'on retrouve des éléments de la nature qui rappellent la fraîcheur et la beauté des jours passés. Cette mélodie invite à revivre ces instants précieux, où l’insouciance et la joie pure prennent le devant de la scène.