Exil, L

Harmonium

Transposer:

(Joué sur une 12 cordes) ____________ Partie 1 : Tout chan ge Et tout me dérange .. J'nous reconnais.. .. .. .. plus Les murs tremblent Y'a plus rien qui nous ressemble Même le nom d'ma rue Dis - moi à quel âge J'vais pouvoir voler D'un centième étage Où est-ce qu'y est l'nord Quand tu r'gardes dehors Le monde s'endort J'vois des lignes au creux d'nos mains, Qui ne servent plus à rien Des signes au fond d'la peau Qui en disent en peu trop Puis, j'vois la fin encore plus sûre par un coup d'poing dans l'mur J'vais juste être bien Quand j'vais me r'trouver tout nu Au creux d'mon lit, caché ben loin ... Au fond d'mon appartement J'ai moins peur du ciment ... C'est bon d'entendre marcher Quelqu'un sur l'autre plancher (0X0560) (0X0565) (2x) Tout penche Y'a trop d'monde sur la même branche           C'est contre la nature Ma rue est sombre L'amour se tient à l'ombre  Pour cacher sa blessure Dis-moi vers quel abri   J'vais pouvoir voler Comme tu voles mon pays Une cage Cache ton visage Le monde      m'enrage Des lignes froides comme du béton Se croisent à l'horizon Des signes enfouis sous le gel L'amour est parallèle Puis j'vois l'exil encore moins sûr J'prends mon élan, puis j'rentre dans l'mur Tout tient comme sur un fil Les dos tournés pour fin d'journée La peur tombe sur ma ville... Comme dans un vieil asile  Tout l'monde s'entend craquer Les murs vont débarquer   Transition (ondes martelot) ____________ Partie 2 : (X00333), (X00430), (X0X555), (X00430)      (3x) (333333), (555555),  A(XX2222), (XX0233) Ça déborde Tout le monde tire sur sa corde C'est fragile De marcher sur un fil C'est tragique  Finir dans un cirque C'est mortel Suivre un carrousel Bien accrochés à nos parapluies Y'en a qui marchent, d'autres qui s'ennuient C'est juste en tombant Qu'on partage le même cri  C'est comme si tout l'monde payait sa place Pour voir chacun d'en haut perdre la face Quand le show est fini J'tombe toujours en bas du lit C'est blessant Vivre en noir et blanc Quand t'as le coeur Rempli de couleurs C'est étrange L'orchestre se mélange C'est une parade Tout le monde est malade Ben cachés sous nos parapluies Y'en a qui foncent, d'autres qui s'enfuient Tomber de si haut On fait tous le même bruit   C'est comme marcher au-dessus d'un abîme En bas, la foule demeure anonyme Me reconnaissez-vous ? C'est moi l'crisse de fou Qui marche au-dessus d'la ville Finale : Ah ... ... ... Ah ... Ah   (X00332) (X30230) (X30030), (X00330) (X11131), (X31111), (X02030) (000035), (300030), (2X0030) (100030)

Du même artiste :

empty heart empty heart Dmaj9, F#m7, Gmaj7/B, G6/9, Gmaj7, D6/9/F#, Em7, A7, Dmaj7, /D#, /C#, /A, Bm, D6/9, /G, /F#, Fmaj9, Gm6, Gm7, D#5, A5, F#5, /D, D6, Bm6, A#m6, G, F#7, E9, A, A6, E5, D
empty heart empty heart Bm, A/C#, Em7, F#7, Bm4/A, Gmaj7, Cmaj7, Bm/A, A, A7, D, Am/D, D7, G, E, Bm/C#, A7/4, B7, Em, F#m, A/G, Bm/G, E7, C#m, D2
empty heart empty heart G, C6/9, C9, Em7, A7/4, A7, C, Am7, D7, B7/4, B7, Em, Ebmaj7, Gm, Dm9, Gm7, Gm7/F, D9, Dm7, A#
empty heart empty heart Em, Bm7, D6, G, C, D, B7, Em9, Cmaj7, Am7, Am, D4, D2, A7/4, A7, E7/4
empty heart empty heart E, F#, G#, A, A7, D, A6, E9, F#m, C#, Bm, Bb, Dm, D9, D/E, D/F#, D/G#, B, B/C#, B/D, C#4, A7/C#, A/E
empty heart empty heart F#m9, G, Cmaj7, D, Bm, Em7, A7, A, Em, F#m, F, Am
empty heart empty heart Bm, B11, Em7, A11, A9, F#7, Bm/A, Gmaj7, /F#, Em, Dmaj7, D4, Em9, Em6, G, Gmaj9, Gm, Gm/F#, Gm7, D, D/C#, Bm7, D/A, D7/4, D7, D6, D/F#, G11/D, Em6/9, Em11, C2, C2/B, C9/Bb
empty heart empty heart Am9, Fmaj7, G6, Dm, G, Em, Am, G6/A, Bm, Am/D, Dm9/F
empty heart empty heart F#m, E, B, A, D, Gmaj7, C#7, Em7, A7, Dmaj7, G, D/C#
Cette chanson évoque un sentiment de désorientation et d'exil dans un monde en constante mutation. L'artiste exprime une perte d'identité face à la brutalité des environnements urbains, où les relations humaines semblent se diluer sous le poids du quotidien. Les images de murs qui tremblent et d'une réalité désenchantée traduisent un besoin de s'échapper, de trouver un abri pour se ressourcer. À travers des métaphores puissantes, il questionne la fragilité de l'existence et les rêves envolés, en illustrant une lutte entre l'espoir et la désillusion. Le contexte semble refléter une époque contemporaine marquée par des tensions sociales et une quête d'identité, où chacun se sent parfois aliéné dans sa propre vie, cherchant un sens dans le tumulte environnant. Les références à l'amour et à la souffrance dans une ville devenue froide ajoutent une profondeur poignante à cette réflexion sur l'état du monde.