J’étais seul

Gilles Olivier

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J'étais comme à la fin d'un hiver Les choses n'allaient pas très bien Je tournais les pages d'un roman sans histoire J'étais comme au milieu du désert Personne à qui donner la main Mais au fond de moi je gardais un espoir Mais au fond de moi je gardais un espoir J'étais seul et je n'en savais rien J'étais seul et tu le savais bien J'étais seul mais tu l'étais autant que moi Je ne le savais pas J'étais seul et je n'en savais rien J'étais seul et tu le savais bien J'étais seul et tu l'étais autant que moi Je ne le savais pas Et les arbres sont devenus verts Les fleurs ont remis leur couleur Le temps est enfin revenu de nous aimer C'était comme au début d'un amour Car plus rien ne nous faisait peur Et tous les enfants qui jouaient nous amusait Et tous les enfants qui jouaient nous amusait J'étais seul et je n'en savais rien J'étais seul et tu le savais bien J'étais seul mais tu l'étais autant que moi Je ne le savais pas J'étais seul et je n'en savais rien J'étais seul et tu le savais bien J'étais seul mais tu l'étais autant que moi Je ne le savais pas J'étais seul et je n'en savais rien J'étais seul et tu le savais bien J'étais seul mais tu l'étais autant que moi Je ne le savais pas J'étais seul et je n'en savais rien … (ad lib)

Du même artiste :

empty heart empty heart

On ne peut pas vivre sans amour

Am, Bm, B4, B7, Em, G, F, D7, C, D
La chanson évoque un profond sentiment de solitude, où l’on se retrouve dans des moments de désespoir, comme pris au piège dans un hiver sans fin. Pourtant, au fond de soi, subsiste une lueur d’espoir. L’artiste évoque aussi une prise de conscience que la solitude est partagée. En discutant de ce sentiment de solitude, il révèle que, malgré les apparences, une connexion existe avec l'autre, qui ressent la même chose. Le texte change ensuite de ton, en décrivant un renouveau, comme le printemps qui suit l’hiver. Tout redevient vibrant et plein de couleurs, symbolisant un retour à la vie et à l’amour. Les enfants qui jouent ajoutent une touche de joie et d'insouciance à cette transformation. Cette évolution illustre comment une relation peut transformer notre perception de la solitude en quelque chose de plus positif.