Dieu qu'elle était belle

Gilles Marchal

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Intro :              Elle était là, étendue sur le sable,   A la faveur d'une nuit éclairée   Je ne pouvais détacher mon regard   Elle était seule, je crois bien qu'elle dormait Dieu, qu'elle était belle !      On croyait rêver             Je m'avançais en rampant sur la plage   Même la lune, en riant, se cachait   Le coeur en feu, je guettais les nuages   Qui voulaient bien me laisser m'approcher Dieu, qu'elle était belle !    On croyait rêver              J'aurais voulu caresser son visage   Et l'embrasser ; mais que s'est-il passé ?   Entre mes mains, comme glisse le sable,   J'étais tout seul et la mer murmurait : "Dieu, qu'elle était belle !    On croyait rêver Dieu, qu'elle était belle ! ôh, oh, On croyait rêver ..."    

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La chanson évoque un moment poignant où le narrateur aperçoit une femme magnifique allongée sur la plage, illuminée par la nuit. Captivé par sa beauté, il s'approche lentement, pourtant sa timidité et le passage du temps font que ce moment idéal semble lui échapper. Il ressent une émotion intense, mais malgré son désir d'établir une connexion, il se retrouve finalement seul, confronté à l'impuissance de voir ses rêves se diluer comme le sable entre ses doigts. Le cadre est une nuit tranquille sur le bord de la mer, offrant une atmosphère presque magique et rêveuse, où la beauté de cette femme incarne à la fois la joie et la nostalgie d'une rencontre qui ne pourra jamais se concrétiser. C'est un instant suspendu, plein de promesses inachevées.