Comme un étranger dans la ville

Gilles Marchal

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  Comme un étranger dans la ville Je suis plus seul qu'une ombre Et ma voix ne parle qu'à moi. Les gens qui me regardent n'ont pas de visage Ils n'ont que l'ombre d'un regard. Je veux aller où le soleil brille             travers pluie                          Où un blouson sur mon dos me tient chaud Échappant au vent du nord Voguant au ciel d'été Ou ricochant sur des vagues d'océan. Je veux aller où le soleil brille À travers la pluie Où un blouson me tient chaud Échappant au vent du nord Voguant au ciel d'été Ou ricochant sur des vagues d'océan. Comme un étranger dans la ville Je suis plus seul qu'une ombre Et ma voix ne parle qu'à moi. Mon coeur que cette ville ne connaît pas Mon coeur que cette ville ne connaît pas Mon coeur que cette ville...

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La chanson évoque le sentiment d'isolement et de solitude ressentie par une personne dans une ville qui lui est étrangère. Il se sent comme une ombre, invisible aux yeux des autres, et sa voix ne trouve d'écho que dans son propre cœur. L’artiste aspire à un endroit où la lumière est présente, un lieu réconfortant où il pourrait se sentir moins seul, loin du vent froid et de l’ennui de cette vie urbaine. Ce thème de l'étranger dans une grande ville est universel et peut résonner avec quiconque a déjà eu l'impression de ne pas appartenir, de se retrouver à la périphérie de la vie qui l’entoure, cherchant désespérément chaleur et connexion. C’est cette quête d'appartenance et de réconfort qui fait toute la profondeur des mots.