La barbarie

Gaëtan Roussel

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|   |   |   |   | |   | C'est peut être une ruse subtile On dirait le nom d'une fille On l'imagine douce et jolie                 Est-ce pour mieux séduire les hommes? Ses trois syllabes qui sonnent Pour mieux se glisser dans leurs rêves Un couteau entre les lèvres C'est presque un prénom Presque un pays C'est une invitation       C'est presque un prénom C'est presque un fruit C'est une tentation       C'est probablement un leurre On dirait le nom d'une fleur On l'imagine épanouie                    Est-ce pour mieux voyager Au coin de nos boutonnières Qu'elle s'est ainsi    déguisée Elégamment meurtrie C'est presque un prénom Presque un pays C'est une invitation       C'est presque un prénom C'est presque un fruit C'est une tentation       | | | | | (x2) Comme les orgues du même nom Elle distille sa chanson Que l'on reprend tous en canon Tous en canon Que l'on reprend tous en canon Tous en canon

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empty heart empty heart G, Bm, Am, C, D, Em
empty heart empty heart Am, E, C, G
empty heart empty heart C, Em, Am, G, F
empty heart empty heart Am, C, Em, B7, E
La chanson évoque une figure mystérieuse, presque séduisante, qui semble cacher une dualité entre la beauté et la dangerosité. Elle joue sur l'idée d'une allure séduisante qui pourrait bien être un piège, se présentant sous des formes délicates tout en renfermant une certaine gravité. Les références à des choses simples et naturelles, comme des fleurs ou des fruits, soulignent cette délicatesse apparente, tandis que l'ombre d'une menace flotte dans l'air. Le contexte met en lumière cette tension entre l'attraction et la prudence, comme si l'artiste nous invitait à réfléchir à nos propres désirs et aux ombres qui peuvent les accompagner. Les images évoquées créent une atmosphère de mystère et de contemplation sur les aspects parfois trompeurs de ce qui semble agréable.