Ton visage

Fréro Delavega

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(x2) Quand en ville, le grain se lève, Vent de nerf agité, Que s'éternisent les rêves, Dans ma réalité. J'veux des balades sur la grève, Oh, un peu d'humanité. oh Moins de béton plus de trêve, Une vie de qualité, Oh moins de bétons plus de rêve Dans ma réalité. Que n'ai-je ? Une planche de salut Loin du métro, de son raffut, Les yeux rivés sur le rivage, Oublié ton lointain visage. J'veux des larmes, qui ne coupent pas, Et moins de peine en 4 par 3, Un bonheur simple, mais a mon gout, C'est un peu vrai mais ca fait tout. J'veux plus de houle dans mon écume, Et moins de foule dans mon bitume, Ces petites choses qui n'ont au clair De sens qu'une fois qu'on les perd Ces petites choses qui n'ont au clair De sens qu'une fois qu'on les perd. Que n'ai-je ? Une planche de salut Loin du métro, de son raffut, Les yeux rivés sur le rivage, Oublié ton lointain visage. (2x) Que n'ai-je alors ? Une planche de salut Pour chevaucher mon vague a l'âme Bel ocean, briseur, t'as lu Pour sécher le sel de mes larmes. Que n'ai-je ? Une planche de salut Loin du métro, de son raffut, Les yeux rivés sur le rivage, Oublié ton lointain visage. (3x)

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Cette chanson évoque un désir d'évasion et de retour à des choses simples de la vie. L'artiste aspire à fuir le tumulte et le stress de la ville pour se retrouver au bord de la mer, où il peut savourer des moments de paix. Il parle de la quête d'une existence moins matérialiste, en regrettant les petites joies qui prennent tout leur sens une fois perdues. Cet appel à la douceur et à l'humanité nous rappelle l'importance d'apprécier les instants de bonheur authentiques, loin du béton et de la frénésie urbaine. Les images de la mer et du rivage renforcent ce besoin de réconfort et de bonheur simple.