Les lumières se sont éteintes

Frédérik Mey

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Intro : / / / Fini le temps du baladin,  du saltimbanque et comédien Le luth que tient le musicien vient de se taire entre ses mains La grande table désertée,  des verres vides, des fleurs fanées, Il est vrai que le clown est triste Quand le rideau    tombe enfin              Les lumières se sont éteintes Toutes les fêtes ont une fin Ni les reproches,  ni les complaintes, Ni les regrets n'y changeront rien  /  /     /    /   /  /  Les flammes dans la cheminée tissent des ombres tourmentées Déjà se lève le matin devant la fenêtre embuée Le vin a voilé les esprits ; les rires se sont assoupis Et le silence a envahi La maison où nous étions gais Les lumières se sont éteintes Toutes les fêtes ont une fin Ni les reproches, ni les complaintes, Ni les regrets n'y changeront rien  /  /     /    /   /  /  Adieu, je m'en vais maintenant ; le baladin a fait son temps Et ce n'est pas d'un coeur léger que je pose mon instrument Si tu veux, pense à moi parfois ; et si tu préfères, oublie-moi ! Alors demain, je ne serai déjà Qu'un souvenir lointain. Les lumières se sont éteintes Toutes les fêtes ont une fin Ni les reproches, ni les complaintes, Ni les regrets n'y changeront rien / / / / Ni les reproches,  ni les complaintes, Ni les regrets n'y changeront rien            

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La chanson évoque la mélancolie d'un spectacle qui se termine, symbolisant la fin des joies et des illusions. Le personnage principal se remémore les moments passés, remplis de rires et de festivités, mais il réalise que tout cela appartient désormais au passé. Les souvenirs sont teintés par la tristesse alors qu'il fait ses adieux, conscient que le temps des réjouissances est révolu. Les lumières qui s'éteignent illustrent inévitablement le départ et la solitude qui s'installent, rappelant que chaque fête, aussi belle soit-elle, doit finalement se conclure. Ce récit résonne avec la fugacité des moments heureux et la nécessité d'accepter le passage du temps.