Mille après mille

Fred Pellerin

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Ma vie est un long chemin sans fin Et je n'sais pas très bien où je m'en vais Si je cherche dans les faubourgs et les villes, C'est dans l'espoir d'accomplir mon destin Mais mille après mille, je suis triste Puis mille après mille, je m'ennuie Puis jour après jour sur la route Tu n'peux pas savoir comm'j'peux t'aimer Chaque mille que je parcours me semble inutile Je cherche toujours sans rien trouver Puis je vois ton visage qui me hante Je m'demande pourquoi je t'ai quitté Mais mille après mille, je suis triste Puis mille après mille, je m'ennuie Puis jour après jour sur la route, Tu n'peux pas savoir comm'j'peux t'aimer Instrumental : Un jour, quand mes voyages auront pris fin Et qu'au fond de moi, j'aurai trouvé Cette paix dont je sentais le besoin A ce moment, je pourrai m'arrêter Mais mille après mille, je suis triste Puis mille après mille, je m'ennuie Puis jour après jour sur la route Tu n'peux pas savoir comme j'peux t'aimer (2x)

Du même artiste :

empty heart empty heart C, C7/Bb, F, Em, G, G7, Am
empty heart empty heart Am, E, Dm, Gm
empty heart empty heart Am2, Am7, C, E7, B, Am, F, G, Dm
empty heart empty heart C, G, F, Am, E
empty heart empty heart Am, Dm, G, F, C, E
empty heart empty heart A, Bm, E, F#m, C#m
empty heart empty heart E, G6/B, Am, /A, /B, /C, C, F, G, Dm, A7/4/E
empty heart empty heart D5, D, Em, Em7, A, A7
La chanson évoque un voyage intérieur où l'artiste traverse de nombreux kilomètres, cherchant sa voie sans vraiment savoir où il va. À chaque pas, il ressent une tristesse croissante et un ennui, tout en réalisant que son cœur est hanté par l'amour qu'il a perdu. Ce chemin se révèle être une quête de sens et de paix, un désir de retrouver ce qui lui manque profondément. Le contexte de cette réflexion semble s'ancrer dans un parcours de vie souvent solitaire, où l’errance physique est le reflet d’une errance émotionnelle. La mélodie nous plonge dans les pensées d’un être en quête de réconciliation avec soi-même et avec son passé, accentuant l’idée que les distances parcourues ne compensent pas la douleur de l’absence. C’est un moment de vulnérabilité que l'on peut tous comprendre dans nos propres périples.