Douleur

Fred Pellerin

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Intro : (X12020) Je m'appellerais l'amour Je te courtiserais, Je m'appellerais la peur, Je te défendrais, Je m'appellerais la nuit, Je t'illuminerais, Je m'appellerais la mort Je t'épargnerais.   Pour te faire langueur Comme tu m'as fait souleur Je m'appellerais le vent Je te blesserais,   Ne me crois pas méchant Écoute mon couplet Je m'appelle douleur Et tu es ma demeure. J'ai tant battu les rues J'ai tant battu les heures Qu'enfin tu es venue Comme en mer la lueur T'as dit : "j'aime les fous Parc'qu'ils aiment les fleurs..." Mis dans tes deux mains nues Ma raison et mon coeur. Ne me crois pas avant Ne me crois pas servant Je t'aime tant et tant Maintenant tu le sens. Traverserons les pleurs Traverserons les ans Traverserons les temps   Mon fardeau, ma chaleur... Finale : (4X65X0)

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empty heart empty heart E, G6/B, Am, /A, /B, /C, C, F, G, Dm, A7/4/E
empty heart empty heart G, G/F#, Em, Am, Am/G, D/F#, C, D6, G/B
empty heart empty heart Am, Dm, G, C
empty heart empty heart C, Fmaj7, G, F, D/F#, E
Cette chanson évoque un dialogue intérieur rempli de contradictions et de sentiments complexes. Le narrateur se définit à travers des notions comme l'amour, la peur, la nuit, et même la mort, montrant ainsi comment ces émotions se mélangent et s'entrelacent dans sa vie. Il célèbre la douleur, lui donnant presque une identité propre, tout en exprimant un profond attachement à l'autre. Il reconnaît l’intensité de ses sentiments et la manière dont cette connexion le transforme. Le contexte semble tourner autour des relations tumultueuses, où l'on oscille entre le bonheur et la souffrance, cherchant à comprendre la nature même de l'amour. L'auteur peint un tableau de la vie amoureuse, avec ses joies et ses peines, soulignant l'importance de ces expériences dans le cheminement personnel.