40 Ft

Franz Ferdinand

Transposer:

[Intro] x4 x4 [Verse 1] As I glance once upon the foam Forty feet beneath my feet The coldest calm falls through the molten veins Cooling all the blood to slush congeals around again [Chorus] Oh-la la la-la la la la-la La la-la la la-la la     La la la-la la la la-la La la la-la la la-la la Oh and forty feet remain [Re-Intro] x2 [Verse 2] Salt scales upon my drying arms Burn my back beneath the sun But I am cold beneath the burning rays Looking down looking down down down again oh [Chorus] Oh-la la la-la la la la-la La la la la-la la     La la la-la la la la-la La la la-la la la-la la Oh and forty feet remain [Bridge] x4 La la la-la la la la-la La la la-la la la-la la     La la la-la la la la-la La la la-la la la-la la La la la-la la la la-la La la la-la la la-la la     La la la-la la la la-la La la la-la la la-la la Oh and forty feet remain [Outro] x4

Du même artiste :

empty heart empty heart Dbm, G#m, E, F#, Ebm, B
empty heart empty heart Gm, F, Cm, Eb, Bb, D
empty heart empty heart Am, G, Bm, F#m, D, A, Bb, Dm, Gm, C
empty heart empty heart Bm, F#m, Am, Em, G, A
empty heart empty heart Am, Em, C, F, G, A
empty heart empty heart Em, Am, D, G, A, E, C, F, Bm
empty heart empty heart Am, F, G, C, D, E, A, Bb
empty heart empty heart Dbm, B, F#m, A, E, Bm, D, F#
empty heart empty heart Bb, Dm, Gm, F, C, Cm, Dbm, Fm, Em, G#
empty heart empty heart Em, Am, C
Dans cette chanson, l'auteur évoque une sensation de désorientation et de solitude à travers des images puissantes de la mer et de la chaleur. Il parle d'un contraste entre la froideur intérieure et la chaleur extérieure, suggérant une lutte émotionnelle profonde. Les quarante pieds mentionnés semblent symboliser une profondeur vertigineuse, une distance insurmontable qui pèse sur lui, comme si quelque chose d'important était perdu en dessous de lui. Le contexte paraît évoquer des thèmes de malaise et d'introspection, où l'interaction avec les éléments naturels devient le miroir de ses propres sentiments. L’artiste semble réfléchir à des pensées sombres, tout en étant confronté à la beauté paradoxale du monde qui l'entoure. La répétition des refrains renforce cette notion de ce qui reste, d’une lutte intérieure face à cette profondeur impitoyable.