Où va la chance

Françoise Hardy

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Je vois la prison, je vois la nuit Je vois le prisonnier qui pleure sa vie Et quelquefois je pense quand je m'endors dans tes bras Où va la chance, à toi, à moi ?  Humm ... Je vois des blessures, jamais guéries Je vois le vagabond qui dort sous la pluie Et quelquefois je pense quand je m'endors dans tes bras Où va la chance, à toi, à moi ?  Humm ... Je vois un homme au coeur perdu Qui boit pour ne plus voir ce qu'il est devenu Et quelquefois je pense quand je m'endors dans tes bras Où va la chance, à toi, à moi ?  Humm ... Je vois des villes dont les maisons Un jour sous la guerre ont croulé sans raison Alors parfois je pense quand je m'endors dans tes bras Où va la chance, à toi, à moi ?  Humm ...          

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Cette chanson évoque une profonde mélancolie, où l'on assiste à un contraste entre l'espoir et la désespérance. L'artiste décrit des images de souffrance et de solitude à travers différents personnages : un prisonnier, un vagabond, et un homme perdu. Chacun fait face à ses blessures, ses regrets et ses défis, symbolisant ainsi la lutte quotidienne que beaucoup connaissent. Le refrain introduit une réflexion sur la chance, laissant entendre que malgré les épreuves, il existe un lien d’amour et de réconfort. L'artiste se questionne sur la destinée de ce bonheur partagé, comme si, même dans l’adversité, l’espoir pouvait subsister, surtout lorsque l’on se retrouve dans les bras de l’autre. Cela parle à un moment de fragilité et de connexion humaine face à la dureté du monde.