La tempête

François Corbier

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Comme le dit Laurent Romejko             Philosophe de la Météo       Tempête en novembre T'en chies en décembre Mais pour nous la tempête Elle n'en finit plus du tout Des salauds des politiciens Volent nos sous, détournent nos biens Si fort qu'on les chasse Ils quittent pas la place Et pour nous la tempête Elle n'en finit plus du tout Tout le monde veut la mort des bovins Les bûchers ne brûlent pas en vain Même les flics se lâchent Ils crient : " mort aux vaches " Et pour nous la tempête Elle n'en finit plus du tout L'amour tue et pour oraison Nos curés chantent à l'unisson Vive la Calotte Mettez pas de capote Et pour nous la tempête Elle n'en finit plus du tout Nos patrons qui sont des génies Dans leurs slips attisent l'incendie Pour que les bourses flambent Et que l'actionnaire bande Mais pour nous la tempête Elle n'en finit plus du tout Comme le dit Laurent Romejko Toute cette pluie c'est jamais que de l'eau Et chaque fois qu'elle tombe Ça fait parler le monde Mais pour nous la Tempête Elle n'en finit plus du tout

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Cette chanson évoque les tumultes de la vie quotidienne, entre les révoltes sociales et les injustices. Elle dénonce les abus de pouvoir et les escroqueries des politiciens qui profitent aux dépens du peuple. Les paroles utilisent des images de tempête pour symboliser les difficultés persistantes, en ne laissant jamais vraiment entrevoir un répit. Il est aussi question de sujets sensibles comme la gestion de l'agriculture, la critique à l’égard des institutions religieuses, et les préoccupations face à la cupidité des patrons, mettant en lumière les tensions qui existent dans la société. L’ensemble crée un tableau accablant, où chaque difficulté semble se superposer à la précédente, le tout sur fond d'une réalité grise et morose. Cela reflète une époque marquée par des crises, tant sociales qu'économiques, où les malaises s’accumulent et où l'espoir semble s'évanouir.